NinjaOne https://www.ninjaone.com/fr/ Software For IT Ninjas Tue, 18 Feb 2025 19:23:35 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.2 https://www.ninjaone.com/wp-content/uploads/2024/10/favicon-2024-150x150.png NinjaOne https://www.ninjaone.com/fr/ 32 32 NinjaOne figure sur la liste “Security 100” de CRN pour 2025 https://www.ninjaone.com/fr/blog/ninjaone-liste-security-100-crn-2025/ Wed, 19 Feb 2025 06:11:35 +0000 https://www.ninjaone.com/?p=425725 La reconnaissance de l’excellence dans le domaine de la sécurité des terminaux et de la sécurité gérée

Grande nouvelle ! NinjaOne a été nommé dans la liste “Security 100” de CRN pour 2025, dans la catégorie Sécurité des terminaux et sécurité gérée. Cette reconnaissance témoigne de l’engagement inébranlable de NinjaOne à fournir une gestion et une sécurité automatisées des terminaux qui aident les MSP et les équipes informatiques à protéger en toute simplicité les entreprises contre des cybermenaces en constante évolution.

Pourquoi cette reconnaissance est importante

Chaque année, la liste “Security 100” de CRN met en avant les principaux innovateurs en matière de cybersécurité qui travaillent en étroite collaboration avec les partenaires de distribution pour renforcer la sécurité dans le monde entier. Les lauréats 2025 sont récompensés dans cinq catégories technologiques : Sécurité des terminaux et sécurité gérée ; sécurité des identités, des accès et des données ; sécurité des réseaux ; informations sur les opérations de sécurité, les risques et les menaces ; sécurité du web, des e-mails et des applications.

Cette reconnaissance souligne encore davantage la mission de NinjaOne qui consiste à automatiser les aspects les plus difficiles de l’informatique, en assurant la sécurité et le contrôle de tous les terminaux.

“Nous sommes honorés d’être reconnus par CRN en tant que leader dans le domaine de la sécurité des terminaux et de la sécurité gérée”, déclare Joe Lohmeier, vice-président pour les canaux de vente chez NinjaOne. “Cette reconnaissance reflète notre engagement continu à fournir une sécurité facile à implémenter sur les terminaux afin que nos partenaires puissent mieux protéger leurs clients”

Des terminaux sécurisés pour les partenaires NinjaOne

Les cybermenaces évoluent rapidement et la sécurité des terminaux est la première ligne de défense. Grâce au programme de partenariat de NinjaOne, nos partenaires ont accès aux services suivants :

  • Des outils automatisés de gestion et de protection des terminaux pour gérer les stratégies de sécurité sur tous les terminaux depuis un panneau de contrôle centralisé
  • Une vaste bibliothèque d’intégrations pour booster la productivité, réduire les risques et les coûts
  • Des solutions de sécurité intégrées qui facilitent le déploiement, qu’importe l’échelle, et évoluent en fonction des besoins de vos clients
  • Une formation gratuite et illimitée, l’onboarding et l’assistance pour chaque client, en plus d’une bibliothèque de ressources conçues pour guider vos clients et leur donner les moyens d’agir

Le programme de partenariat NinjaOne s’adresse aux fournisseurs de services gérés, aux revendeurs, aux fournisseurs de solutions et aux partenaires technologiques. Vous souhaitez renforcer la sécurité des terminaux de vos clients ?

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Comment exporter des MV Hyper-V dans Windows https://www.ninjaone.com/fr/blog/exporter-des-mv-hyper-v/ Tue, 18 Feb 2025 13:44:26 +0000 https://www.ninjaone.com/?p=425470 Dans cet article, nous expliquons étape par étape comment exporter des MV Hyper‑V dans Windows. Ce guide complet aborde tout ce que vous devez savoir, notamment les raisons pour lesquelles les exportations sont importantes, les cas d’utilisation courants et les conseils de dépannage.

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Qu’est-ce que la fonction d’exportation Hyper‑V ?

Pour résumer, Hyper‑V est une plateforme Microsoft de virtualisation qui permet aux entreprises d’exécuter plusieurs systèmes d’exploitation et applications sur une seule machine physique. Dans l’ère toujours plus digitalisée qui est la nôtre (Les études montrent que 53 % des travailleurs américains déclarent travailler dans un environnement hybride en 2024), la virtualisation n’est plus un simple confort : C’est une nécessité.

Une tâche essentielle dans cet écosystème virtualisé est l’exportation de machines virtuelles (MV). Savoir comment exporter une machine virtuelle Hyper‑V permet de créer une copie complète d’une machine virtuelle qui peut être réutilisée ou stockée à diverses fins et dans divers cas d’utilisation, par exemple :

  • Collaboration : partage de machines virtuelles avec des membres de l’équipe ou des fournisseurs tiers à des fins de test et de développement.
  • Sauvegardes : protection contre la perte de données par la création d’instantanés des machines virtuelles.
  • Exportation : génère une copie autonome de la MV. Ceci, à son tour, est utile pour :
    • Migrations : déplacement aisé des machines virtuelles entre les serveurs ou les environnements.
    • Duplications : réplication de machines virtuelles à des fins de test, de développement ou de mise à l’échelle.

Il convient de noter que la sauvegarde de vos machines virtuelles implique généralement l’utilisation d’un logiciel de sauvegarde automatisé tel que NinjaOne pour enregistrer des instantanés incrémentiels ou complets. En tant que telles, les sauvegardes sont conçues principalement pour la récupération plutôt que pour la migration.

En revanche, l’exportation (dont nous parlons dans ce guide Windows Hyper‑V) est utile pour la portabilité ; par exemple, pour préparer des mises à niveau matérielles ou logicielles, pour créer des environnements de test en dupliquant des machines virtuelles de production, ou même pour migrer des machines virtuelles vers un autre hôte Hyper‑V.

Guide étape par étape pour exporter des MV Hyper‑V

Avant d’exporter des machines virtuelles sous Windows, vous devez d’abord vous assurer de certaines choses. Assurez-vous que vous disposez d’un hôte Hyper‑V en parfait état de fonctionnement et d’un espace disque suffisant sur la destination de l’exportation. Il est également conseillé de vérifier (et de revérifier) que vous disposez des privilèges d’administration sur l’hôte Hyper‑V pour effectuer l’exportation. Cela vous permet d’éviter les problèmes de dépannage les plus courants, dont nous parlerons plus loin.

Une fois que vous avez vérifié toutes ces conditions préalables, vous pouvez maintenant effectuer une exportation Hyper‑V.

La méthode la plus simple consiste à utiliser le Gestionnaire Hyper‑V.

Option 1 :

1. Ouvrez le Gestionnaire Hyper‑V.

2. Sélectionnez la MV à exporter. Localisez l’hôte Hyper‑V souhaité dans le volet de gauche. Assurez-vous que la MV est dans un état pris en charge (par exemple, désactivée ou sauvegardée).

3. Choisissez la destination de l’exportation. Faites un clic droit sur la MV et sélectionnez “Exporter”. Indiquez un dossier de destination disposant d’un espace de stockage suffisant. Vous pouvez également trouver la fonction d’exportation dans le volet droit sous “Actions”.

4. Le Gestionnaire Hyper‑V affiche votre progression. Notez que l’exportation des grandes machines virtuelles peut prendre plus de temps.

Option 2

Une autre option à considérer pour le processus d’exportation des machines virtuelles Hyper‑V est de passer par PowerShell.

1. Ouvrez une session PowerShell élevée.

2. Utilisez cette commande (Get-VM | Export-VM – Path ‘Full path name of the folder to export to‘) et appuyez sur “Enter”.

a. Remplacez “Full path name of the folder to export to” par le chemin complet réel de l’emplacement du dossier.

Utilisation d'une commande dans un Powershell élevé

3. Fermez PowerShell. Selon la taille de votre MV, cette opération peut prendre quelques minutes ou quelques heures.

Cette option est idéale lorsque vous souhaitez effectuer une exportation Hyper‑V sur toutes les machines virtuelles. Cependant, si vous prévoyez de n’effectuer qu’une seule exportation Hyper‑V, vous devrez :

1. Ouvrez une session PowerShell élevée.

2. Entrez la commande (get-vm) et appuyez sur “Entrée”. Notez le nom de la machine virtuelle que vous souhaitez exporter. (Assurez-vous que vous disposez des privilèges administrateurs pour y accéder).

3. Entrez (export-vm – Name ‘Name of virtual machine’ – Path ‘full path of folder to export to’) et appuyez sur “Enter”.

a. Remplacez les commandes “name of virtual machine” (nom de la machine virtuelle) et “full path of folder to export to” (chemin complet du dossier vers lequel exporter) par les noms réels requis.

b. Par exemple : export-vm – Name ‘w8 build 12345’ -Path ‘D:\File Location’

4. Fermez PowerShell. La machine virtuelle est maintenant exportée. Comme pour les deux autres options, cette opération peut prendre du temps, en fonction de la taille de la machine virtuelle.

Vérifiez et testez l’exportation

Après avoir exporté des machines virtuelles dans Windows, il est judicieux de vérifier si la migration s’est déroulée correctement. Pour cela, vous devez vérifier le dossier de destination de tous les fichiers exportés de la MV. Assurez-vous que tous les fichiers essentiels, tels que les fichiers .vdhx (disque dur virtuel) et .vmxc (configuration), sont présents.

Une fois l’exportation vérifiée, testez la MV exportée. Importez la machine virtuelle exportée sur un autre hôte Hyper‑V à l’aide de l’assistant d’importation de machine virtuelle. Vérifiez que la MV démarre correctement et qu’elle fonctionne comme prévu.

Dépannage des problèmes courants

Il arrive que l’exportation d’Hyper‑V vers un autre serveur ne fonctionne pas aussi bien que prévu. Dans cette section de notre guide Windows Hyper‑V, nous aborderons quelques problèmes courants qui peuvent survenir et comment les résoudre.

Espace de stockage insuffisant

Le problème le plus courant est le manque d’espace de stockage à la destination d’exportation. Les machines virtuelles ayant tendance à être volumineuses, votre volume de destination doit disposer de suffisamment d’espace libre pour les accueillir. Pour résoudre ce problème, essayez de supprimer les fichiers inutiles sur le disque de destination ou envisagez d’utiliser un autre emplacement ayant une capacité suffisante.

Erreurs de refus d’accès

Cette erreur se produit lorsque vous ne disposez pas des autorisations suffisantes pour effectuer les tâches nécessaires. Pour résoudre ce problème, assurez-vous que vous disposez des privilèges administrateur sur l’hôte Hyper‑V.

Échecs d’exportation

Si l’exportation est terminée mais que vos machines virtuelles ne fonctionnent pas correctement lors de l’importation, il se peut que certains fichiers soient corrompus ou n’aient pas été inclus. Vous pouvez éviter ce problème en vérifiant l’intégrité des fichiers de stockage et de configuration de la MV avant l’exportation et en utilisant des disques fiables pour éviter les interruptions pendant le processus d’exportation.

NinjaOne permet de surveiller facilement dans le détail l’état des hôtes Hyper-V.

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Bonnes pratiques

Le processus d’exportation de la machine virtuelle Hyper‑V doit être fluide. En suivant ces bonnes pratiques, vous pouvez vous assurer que le processus d’exportation est aussi simple que possible et améliorer la gestion à long terme de vos machines virtuelles.

  1. Utilisez des emplacements de stockage dédiés : pour éviter l’encombrement, nous recommandons d’exporter les machines virtuelles vers des emplacements de stockage dédiés. Il est également conseillé d’utiliser des dossiers distincts pour chaque MV et d’inclure des noms descriptifs et des timestamps dans les noms de dossiers. Cela vous permet d’identifier plus facilement les exportations.
  2. Exportez régulièrement les machines virtuelles critiques : procédez périodiquement à une exportation Hyper‑V manuelle pour compléter votre solution de sauvegarde automatisée. Vous avez ainsi l’assurance de toujours disposer d’une copie récente des machines virtuelles stratégiques pour les restaurer en cas d’urgence.
  3. Vérifiez l’intégrité de l’exportation : Testez toujours vos machines virtuelles exportées pour confirmer leur intégrité. Cela permet d’éviter les surprises lors de migrations ou de récupérations critiques. L’une des pires choses qui puisse arriver est de migrer une MV qui ne fonctionne pas et de perdre toutes vos données.
  4. Choisissez des options de stockage fiables : évitez le problème le plus courant lors de l’exportation d’une machine virtuelle en utilisant des supports fiables pour le processus, tels que le stockage en réseau (NAS).
  5. Documenter les processus et les détails de l’exportation : tenez à jour un journal d’exportation, comprenant le nom de la MV, les données d’exportation et l’emplacement de stockage. Des enregistrements détaillés permettent de suivre l’historique et facilitent la gestion efficace des environnements virtualisés.

Réalisation d’une exportation Hyper‑V

Il se peut que vous recherchiez le processus d’exportation de machines virtuelles Hyper‑V pour différents cas d’utilisation, comme la sauvegarde ou la migration. Quoi qu’il en soit, l’exportation des machines virtuelles dans Hyper‑V est un moyen efficace d’assurer la portabilité et la protection des machines virtuelles. Nous recommandons également d’utiliser un logiciel de gestion Hyper‑V de confiance comme NinjaOne pour surveiller et gérer sans effort l’ensemble de votre infrastructure Hyper‑V à partir d’une seule fenêtre.

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Foire aux questions (FAQ)

1. Quelle est la différence entre l’exportation et le clonage d’une MV ?

L’exportation d’une machine virtuelle crée une copie réutilisable de la MV. Le clonage, quant à lui, crée un double directement sur le même hôte. Chacune a ses propres avantages et ses propres cas d’utilisation.

2. Pouvez-vous exporter une machine virtuelle en cours d’exécution ?

Non. Comme le montrent les étapes ci-dessus, la machine virtuelle doit être dans un état “Désactivé” ou “Sauvegardé” avant d’être exportée.

3. Quelle est la durée habituelle de la procédure d’exportation ?

Cela dépend de la taille de votre MV et de la vitesse de stockage. Les grandes machines virtuelles peuvent prendre des heures sur des systèmes plus lents.

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Guide IT : comment configurer la fréquence de sauvegarde de l’historique des fichiers ? https://www.ninjaone.com/fr/blog/frequence-de-sauvegarde-historique-des-fichiers/ Tue, 18 Feb 2025 13:12:43 +0000 https://www.ninjaone.com/?p=425418 L’historique des fichiers est un outil puissant qui permet aux utilisateurs de sauvegarder automatiquement des fichiers et des dossiers sur leurs appareils Windows, évitant ainsi la perte de données causée par des suppressions accidentelles, la corruption de données et les cyberattaques. Comprendre la fréquence de sauvegarde de l’historique des fichiers et apprendre à l’ajuster vous permet de vous assurer que seuls les fichiers les plus critiques sont sauvegardés plus fréquemment, optimisant ainsi l’espace de stockage et les ressources du système.

Cet article examine les meilleures options de sauvegarde de l’historique des fichiers Windows et la manière d’en e modifier la fréquence de sauvegarde.

Qu’est-ce que l’historique des fichiers ?

Il s’agit d’un logiciel de sauvegarde intégré de Windows qui assure la sécurité des fichiers et des dossiers en enregistrant des copies de sauvegarde sur un disque externe ou un emplacement réseau. Il suit également les modifications apportées aux fichiers et aux dossiers, ce qui permet aux utilisateurs de récupérer des fichiers même si la version la plus récente du fichier est endommagée, écrasée ou supprimée.

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Fonctionnement

Lorsque cette option est activée, l’historique des fichiers analyse d’abord les dossiers ou bibliothèques spécifiés, tels que Documents ou Images. Il crée ensuite une copie complète des fichiers sur un volume compatible. Une fois qu’une copie a été créée, il recherche les nouveaux fichiers et les versions modifiées et enregistre ces changements selon la fréquence de sauvegarde que vous avez définie. Les utilisateurs peuvent récupérer des fichiers individuels ou des dossiers entiers chaque fois que nécessaire et peuvent même choisir entre différentes versions des données à restaurer.

Pourquoi ajuster en la fréquence de sauvegarde

Les sauvegardes fréquentes consomment davantage d’espace disque et d’utilisation du processeur, ce qui ralentit les performances du système. Le réglage de la fréquence de sauvegarde de l’historique des fichiers permet aux utilisateurs de ne pas solliciter les ressources système et l’espace de stockage tout en garantissant que les versions les plus récentes des fichiers vitaux sont sauvegardées dans l’espace de stockage de sauvegarde et en conservant l’espace de stockage. Les projets actifs qui évoluent constamment bénéficient de sauvegardes plus fréquentes afin de minimiser le risque de perdre des mises à jour récentes. D’autre part, des sauvegardes moins fréquentes peuvent être utilisées pour des fichiers d’archives tels que des rapports terminés ou des documents de référence, ce qui garantit une performance optimale du système et une gestion efficace de l’espace de stockage.

Comment en modifier la fréquence de sauvegarde

Accédez aux paramètres avancés de l’historique des fichiers pour en personnaliser le calendrier. Par défaut, il enregistre des copies des fichiers toutes les heures. Vous pouvez en ajuster les paramètres pour créer des sauvegardes aussi fréquemment que toutes les 10 minutes pour les fichiers qui changent constamment ou même créer une seule copie par jour pour l’archivage ou les changements de fichiers peu fréquents.

Comment modifier la fréquence de sauvegarde dans les paramètres

  1. Ouvrez Paramètres et cliquez sur Mise à jour et Sécurité. Cliquez ensuite sur Sauvegarde.
  2. Dans la fenêtre de sauvegarde, cliquez sur Plus d’options.
  3. Vous pouvez ensuite sélectionner la “fréquence de sauvegarde de l’historique des fichiers” de votre choix dans le menu déroulant de la section Versions.

Comment modifier la fréquence de sauvegarde via le panneau de configuration ?

  1. Ouvrez le Panneau de configuration, puis sous Système et sécurité, cliquez sur “Enregistrer des copies de sauvegarde de vos fichiers avec l’historique des fichiers”
  2. Dans la nouvelle fenêtre, assurez-vous que l’historique des fichiers est activé, puis cliquez sur l’option “Paramètres avancés”.
  3. En utilisant le menu déroulant de la section Versions, configurez la fréquence optimale de sauvegarde de l’historique des fichiers.

Problèmes courants et dépannage

Avant de résoudre les problèmes liés à l’historique des fichiers, assurez-vous que vous disposez des autorisations administratives adéquates. Une fois que vous l’avez fait, assurez-vous qu’il est en cours d’exécution, car il est désactivé par défaut. Pour ce faire, suivez les étapes ci-dessus.

  • Résolution des erreurs liées à la disponibilité des volumes de sauvegarde

L’historique des fichiers nécessite qu’un périphérique de stockage externe ou network-attached storage (NAS) soit activé. Vérifiez que le volume de sauvegarde désigné est correctement connecté et opérationnel. Si vous utilisez un disque externe, essayez différents ports USB pour éliminer les problèmes de connectivité. Assurez-vous que l’historique des fichiers a l’autorisation d’écrire sur le volume ou le dossier sélectionné. Si le périphérique de stockage externe ne dispose pas d’autorisations, il peut empêcher l’enregistrement des sauvegardes.

  • Problèmes de capacité des volumes de sauvegarde

Supprimez les anciennes versions de sauvegarde pour libérer de l’espace de stockage. Vous pouvez également régler la durée pendant laquelle les anciennes versions des fichiers sont conservées dans l’historique des fichiers. Allez dans le Panneau de configuration > Historique des fichiers > Paramètres avancés, et configurez la durée pendant laquelle l’historique des fichiers conserve les anciennes versions dans la section “Conserver les versions sauvegardées”.

  • Comment réinitialiser les paramètres si nécessaire

  1. Pour rétablir les paramètres par défaut de l’historique des fichiers, vous devez le désactiver via les Paramètres ou le Panneau de configuration.
  2. Une fois l’historique des fichiers désactivé, accédez au dossier de sauvegarde sur votre disque dur : %UserProfile%\AppData\Local\Microsoft\Windows\FileHistory
  3. Supprimez tous les fichiers et dossiers qui se trouvent à cet emplacement.
  4. Activez à nouveau l’historique des fichiers, puis sélectionnez votre volume de sauvegarde. Cette opération devrait réinitialiser les paramètres de l’historique des fichiers.

 Conseils pour optimiser les paramètres

  • Choisir la bonne fréquence de sauvegarde

Avec l’historique des fichiers Windows, vous pouvez régler la fréquence des sauvegardes, de toutes les 10 minutes à une fois par jour. Réfléchissez à vos besoins spécifiques pour rendre l’historique des fichiers plus pratique. Les sauvegardes fréquentes conviennent mieux aux fichiers fréquemment modifiés, comme les feuilles de calcul ou le code, tandis que les sauvegardes moins fréquentes conviennent mieux aux fichiers rarement modifiés.

  • Configuration des exclusions pour les fichiers ou dossiers qui ne nécessitent pas de sauvegardes

En accédant aux paramètres avancés de l’historique des fichiers, vous pouvez exclure des fichiers, des dossiers ou des bibliothèques. Pour ce faire, suivez les étapes suivantes :

  1. Ouvrez Paramètres > Mise à jour et sécurité > Sauvegarde.
  2. Cliquez sur “Plus d’options”.
  3. Faites défiler la page jusqu’à la section “Sauvegarder ces dossiers” et cliquez sur le dossier que vous souhaitez exclure.
  4. Cliquez sur le bouton Supprimer en bas à droite.
  • Vérifiez l’utilisation de l’espace de stockage et gérer efficacement les anciennes sauvegardes

La quantité de mémoire que les sauvegardes de l’historique des fichiers occupent augmente avec le temps. Bien que Windows supprime automatiquement les anciennes versions pour libérer de l’espace, vous pouvez également ajuster ces paramètres en fonction de vos besoins.

Bonnes pratiques pour les particuliers

Étant donné que les sauvegardes peuvent s’accumuler rapidement, en particulier pour les périphériques de stockage personnels, les particuliers ne devraient sauvegarder que les données sensibles ou les projets en cours afin d’éviter que les performances du périphérique n’en pâtissent. Par exemple, les activités créatives telles que le montage de vidéos personnelles ou la création d’une illustration numérique peuvent bénéficier de sauvegardes fréquentes pour éviter la perte de la progression, tandis qu’une note personnelle peut ne pas nécessiter de sauvegardes du tout.

Bonnes pratiques pour les professionnels qui gèrent des dossiers de travail

La perte de données peut avoir un impact négatif sur la productivité, c’est pourquoi les professionnels devraient envisager de personnaliser leur calendrier d’historique des fichiers en fonction de leurs besoins. Cela permet de s’assurer que des copies actualisées des fichiers commerciaux essentiels, tels que les bases de données clients, les feuilles de calcul, etc. sont fréquemment sauvegardées. Les fichiers qui servent à l’archivage, tels que les rapports historiques, nécessitent des sauvegardes moins fréquentes, car ils subissent moins de modifications.

Utilisation d’outils tiers pour compléter l’historique des fichiers pour les entreprises

Malgré la commodité et la convivialité de l’historique des fichiers Windows, cet outil gratuit peut ne pas suffire aux entreprises. Cela est particulièrement vrai pour les entreprises dans des secteurs fortement réglementés, tels que la finance ou la santé, car les normes réglementaires, telles que HIPAA, comportent des directives strictes en matière de protection des données sensibles.

De nombreux fournisseurs tiers proposent également la sauvegarde dans le cloud, permettant aux utilisateurs de stocker des copies au-delà des disques physiques afin d’ajouter une couche supplémentaire de sécurité pour les données sensibles et d’améliorer l’accessibilité pour les installations distantes ou hybrides. Les logiciels de sauvegarde offrent également un contrôle plus précis et des outils d’automatisation qui permettent aux utilisateurs d’ajuster la fréquence des sauvegardes à l’échelle de différents types de fichiers ou de dossiers. Les solutions tierces de sauvegarde et de récupération des données offrent également des capacités améliorées de restauration des données, telles que la récupération de systèmes entiers avec tous leurs fichiers et configurations et la récupération de fichiers rendus inaccessibles par les ransomware et autres malware.

Envisagez d’investir dans un logiciel de sauvegarde pour disposer d’une suite d’outils plus complète. Alors que l’historique des fichiers permet d’enregistrer des copies de sauvegarde pour des appareils Windows individuels, une solution de sauvegarde tierce vous permet de créer des copies de sauvegarde pour des appareils Windows individuels

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Maintenant que vous savez comment modifier la fréquence de sauvegarde de l’historique des fichiers, vous pouvez en optimiser les sauvegardes afin d’assurer une meilleure protection des données grâce à l’outil de sauvegarde intégré de Windows. Cela dit, l’historique des fichiers n’est pas une solution de sauvegarde complète, de sorte que les entreprises, en particulier celles des secteurs qui exigent une conformité réglementaire stricte, devront se tourner vers les meilleurs logiciels tiers de sauvegarde et de récupération des données pour assurer une sécurité efficace des données.

NinjaOne Backup est une solution de sauvegarde cloud-native qui s’intègre de manière fluide à une suite complète d’outils permettant aux administrateurs informatiques de bénéficier d’une visibilité et d’un contrôle complets de leur environnement informatique. NinjaOne propose une sauvegarde sécurisée sur le cloud avec des options pour le NAS local ou une combinaison des deux. Les outils d’automatisation rationalisent également les processus de sauvegarde, réduisant les erreurs humaines et les charges de travail manuelles tout en garantissant une période d’inactivité minimale et la continuité de l’activité. Commencez par un essai gratuit, ou regardez une démo dès aujourd’hui.

Foire aux questions (FAQ)

  • À quelle fréquence dois-je enregistrer l’historique des fichiers ?

Les meilleurs paramètres de sauvegarde varient d’un utilisateur à l’autre, car la fréquence des sauvegardes dépend de facteurs tels que la fréquence de modification d’un fichier ou d’un dossier et l’espace de stockage disponible. Les sauvegardes fréquentes sont recommandées pour les fichiers fréquemment modifiés, tandis que les sauvegardes moins fréquentes conviennent mieux aux utilisateurs qui ont besoin de conserver de l’espace de stockage.

  • La modification de la fréquence des sauvegardes affecte-t-elle les versions précédemment sauvegardées ?

Non. Lorsque vous modifiez la fréquence de sauvegarde de l’historique des fichiers, seule la fréquence de création d’une copie de sauvegarde est modifiée, et les versions précédemment sauvegardées ne sont pas affectées.

  • Puis-je utiliser l’historique des fichiers sans disque externe ?

Non, l’historique des fichiers nécessite un disque externe ou un emplacement réseau pour le stockage des sauvegardes.

  • Que se passe-t-il si mon volume de sauvegarde est plein ?

Windows supprimera automatiquement les anciennes versions pour libérer de l’espace sur le volume de sauvegarde ; il est toutefois préférable de surveiller régulièrement l’espace de stockage pour éviter les erreurs de sauvegarde.

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Guide pratique : indexer des fichiers chiffrés sur Windows 10 https://www.ninjaone.com/fr/blog/comment-indexer-des-fichiers-chiffres/ Tue, 18 Feb 2025 11:59:18 +0000 https://www.ninjaone.com/?p=425404 Dans ce guide pratique simple, vous apprendrez à indexer les fichiers chiffrés sur Windows 10. Le chiffrement des fichiers est une mesure de sécurité cruciale dans Windows 10, car il protège les données sensibles contre les accès non autorisés. Cependant, le chiffrement peut rendre difficile la localisation rapide des fichiers par le biais de la recherche Windows. Ce guide explique comment activer l’indexation sécurisée des fichiers pour les données chiffrées, afin de concilier sécurité et accessibilité.

Qu’est-ce qu’un fichier chiffré ?

Les fichiers chiffrés dans Windows sont des documents, des dossiers ou d’autres données qui ont été algorithmiquement brouillés pour empêcher tout accès non autorisé. Lorsque vous chiffrez un fichier à l’aide du système de fichiers chiffrés (EFS – Encrypting File System) intégré à Windows( ), le contenu devient illisible sans la clé de chiffrement correcte.

Cette protection est particulièrement précieuse pour les documents commerciaux sensibles, les informations personnelles et les données confidentielles qui doivent rester sécurisées même si des utilisateurs non autorisés accèdent physiquement à votre appareil.

Qu’est-ce que l’indexation de fichiers ?

L’indexation des fichiers est la méthode utilisée par Windows pour cataloguer l’emplacement, le contenu et les métadonnées des fichiers afin de permettre des recherches rapides. Lorsque vous recherchez un fichier, Windows consulte cet index plutôt que d’analyser l’ensemble du disque, ce qui améliore considérablement la vitesse de recherche. Par défaut, Windows n’indexe pas les fichiers chiffrés afin de maintenir la sécurité, mais cela peut rendre la recherche de contenu protégé longue et inefficace.

Raisons d’indexer les fichiers chiffrés dans Windows 10

L’indexation de fichiers chiffrés peut améliorer considérablement votre flux de travail, en particulier lorsque vous gérez des données sensibles dans un environnement sécurisé. Voici quelques raisons essentielles d’envisager l’activation de cette fonction :

1. Capacités de recherche améliorées pour les données chiffrées

Les fichiers chiffrés sont souvent utilisés pour protéger des informations sensibles, mais cette sécurité supplémentaire peut rendre difficile la recherche de fichiers spécifiques. En indexant les fichiers chiffrés, vous pouvez rapidement rechercher des fichiers chiffrés dans Windows 10 sans compromettre la sécurité. Cette fonction est particulièrement utile pour les professionnels de l’informatique et les entreprises qui traitent de gros volumes de documents chiffrés.

2. Rationalisation du flux de travail dans des environnements sécurisés

Dans les entreprises où les fichiers chiffrés font partie des opérations courantes, la possibilité de rechercher et d’extraire efficacement ces fichiers peut faire gagner du temps et améliorer la productivité. Par exemple, les administrateurs système qui gèrent des journaux système chiffrés ou les équipes financières qui accèdent à des feuilles de calcul protégées peuvent travailler plus efficacement lorsque ces fichiers sont indexés.

3. Organisation simplifiée des dossiers

L’indexation des fichiers chiffrés dans Windows 10 permet de s’assurer qu’ils sont inclus dans votre structure globale d’organisation des fichiers. Cela peut s’avérer particulièrement utile lorsque vous travaillez sur des projets qui nécessitent à la fois des documents chiffrés et non chiffrés, ce qui permet une intégration transparente dans votre flux de travail existant.

4. Amélioration de l’accessibilité dans les environnements multi-utilisateurs

Dans les environnements où plusieurs utilisateurs autorisés ont besoin d’accéder à des fichiers chiffrés, l’indexation permet à chaque utilisateur de trouver plus facilement ce dont il a besoin sans avoir à parcourir manuellement les répertoires. Cela peut s’avérer essentiel dans des scénarios de collaboration, tels que l’analyse par des équipes de cybersécurité de données chiffrées sur les menaces ou la gestion par des équipes juridiques de dossiers protégés.

Guide étape par étape : Comment indexer des fichiers chiffrés dans Windows 10 ?

Avant de commencer, assurez-vous d’avoir :

  • Accès administratif à votre système Windows 10
  • Création d’une sauvegarde des données importantes
  • Vérification du bon fonctionnement de vos fichiers chiffrés

Activation de l’indexation des fichiers chiffrés

  1. Ouvrez la barre de recherche de Windows et tapez “Options d’indexation”
  2. Cliquez sur “Avancé” dans la boîte de dialogue Options d’indexation
  3. Sélectionnez l’onglet “Paramètres des fichiers” dans la fenêtre Options avancées
  4. Sous “Paramètres d’indexation”, repérez et cochez la case “Indexer les fichiers chiffrés”
  5. Cliquez sur “OK” et confirmez les éventuels avertissements de sécurité
  6. Laisser Windows reconstruire l’index de recherche (cela peut prendre plusieurs heures)

Vérification de la configuration

Une fois l’index reconstruit, testez la fonctionnalité en procédant comme suit :

  1. Ouverture de la recherche Windows
  2. Recherche de contenu dans un fichier chiffré
  3. Confirmation de l’apparition des fichiers chiffréss dans les résultats de recherche
  4. Vérification de la possibilité de rechercher le contenu d’un fichier

Bonnes pratiques pour l’indexation sécurisée des fichiers

L’activation de l’indexation chiffrée des fichiers introduit certaines considérations de sécurité qui requièrent une attention particulière. L’index lui-même contient des extraits de fichiers chiffréss, qui pourraient être exposés si votre système était compromis. Pour garantir la sécurité lors de l’utilisation de cette fonction :

  • Mettre régulièrement à jour les correctifs de sécurité de Windows
  • Mettre en œuvre des mesures d’authentification forte des utilisateurs
  • Contrôler les journaux d’accès au système pour détecter toute activité suspecte
  • Restreindre les privilèges administratifs aux seuls utilisateurs nécessaires

Risques et considérations

Pour minimiser les vulnérabilités potentielles :

Conservez vos clés de chiffrement en toute sécurité et sauvegardez-les. Envisagez d’utiliser un module de sécurité matériel (HSM) pour les environnements d’entreprise. Vérifier régulièrement les schémas d’accès aux fichiers et les autorisations des utilisateurs. Mettre en place une segmentation du réseau afin d’isoler les systèmes contenant des fichiers indexés et chiffrés. Programmer des évaluations périodiques de la sécurité afin d’identifier les vulnérabilités potentielles.

Considérations sur les performances

L’indexation de fichiers chiffrés peut avoir un impact sur les performances du système de plusieurs manières :

Les reconstructions de l’index de recherche peuvent ralentir temporairement les opérations du système. La base de données d’index nécessite plus d’espace de stockage. L’utilisation de la mémoire augmente lors de la recherche de contenu chiffré. Cependant, ces impacts sont généralement minimes sur le matériel moderne et sont compensés par les améliorations significatives de la fonctionnalité de recherche.

Questions fréquentes

L’indexation de fichiers chiffrés compromet-elle la sécurité ?

Bien que l’indexation crée des surfaces d’attaque supplémentaires, des mesures de sécurité appropriées peuvent atténuer efficacement ces risques. Pour de nombreuses organisations, le confort obtenu justifie souvent le risque géré.

Puis-je indexer sélectivement des fichiers chiffrés ?

Oui, vous pouvez modifier les emplacements d’indexation pour inclure ou exclure des dossiers spécifiques contenant des fichiers chiffrés dans la boîte de dialogue Options d’indexation.

Windows Defender protège-t-il les fichiers chiffrés indexés ?

Windows Defender offre une protection en temps réel pour tous les fichiers, y compris le contenu indexé et chiffré, mais des mesures de sécurité supplémentaires sont recommandées pour les données sensibles.

Recommandations finales

Pour les utilisateurs à domicile : Demandez-vous si la commodité de la recherche de fichiers chiffrés justifie les considérations supplémentaires en matière de sécurité. N’activez cette fonction que si vous effectuez fréquemment des recherches dans des contenus chiffrés.

Pour les utilisateurs en entreprise : Mettez en œuvre une stratégie de sécurité complète avant d’activer l’indexation des fichiers chiffrés. Envisagez d’utiliser des outils de sécurité avancés et des solutions de surveillance pour protéger les données sensibles.

N’oubliez pas de revoir régulièrement vos paramètres de sécurité et de les mettre à jour si nécessaire. Si l’indexation chiffrée des fichiers peut améliorer considérablement la productivité, elle doit s’inscrire dans une stratégie de sécurité plus large comprenant des audits réguliers, une formation des utilisateurs et des examens systématiques de la sécurité.

En résumé

En suivant ces lignes directrices et en mettant en œuvre des mesures de sécurité appropriées, vous pouvez tirer parti en toute sécurité de l’indexation des fichiers chiffrés tout en maintenant une protection solide des données. Une maintenance régulière du système et des audits de sécurité permettront de s’assurer que vos fichiers chiffrés restent à la fois accessibles et sécurisés.

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Comment voir les états de veille sur Windows 10 https://www.ninjaone.com/fr/blog/voir-les-etats-de-veille-sur-windows-10/ Tue, 18 Feb 2025 11:56:41 +0000 https://www.ninjaone.com/?p=425400 Dans cet article, vous apprendrez à voir les états de veille sur Windows 10. La gestion de l’alimentation de Windows va bien au-delà des simples états marche/arrêt. Les états de veille modernes orchestrent un équilibre entre la disponibilité instantanée et l’économie d’énergie, ce qui a un impact direct sur les performances de votre système, la durée de vie de la batterie et l’expérience de l’utilisateur.

Démystifier les transitions d’alimentation des appareils Windows

Pour comprendre les états de veille d’un PC, il faut explorer le système sophistiqué de gestion de l’alimentation intégré à Windows 10. Cette architecture complexe équilibre la réactivité du système et l’efficacité énergétique, créant une expérience transparente pour les utilisateurs tout en optimisant la durée de vie de la batterie et les performances.

Architecture de base de l’état de puissance

Les états de veille de Windows 10 fonctionnent selon une hiérarchie sophistiquée de contrôles de gestion de l’alimentation. Les états globaux du système (G-States) jettent les bases en contrôlant la consommation d’énergie à l’échelle de la plateforme, tandis que les états de puissance du processeur (C-States) affinent la consommation d’énergie du processeur. Ce cadre s’étend aux états de puissance (D-States) et aux états de performance (P-States) du dispositif, créant ainsi un système complet qui équilibre la capacité de traitement et l’efficacité énergétique.

Explication des niveaux de consommation d’énergie

Au fur et à mesure que votre système passe par les états de veille , il passe d’un fonctionnement normal à des modes d’économie d’énergie de plus en plus profonds :

  • Modern Standby (S0ix) : Maintient la connectivité réseau tout en minimisant la consommation d’énergie, garantissant des temps de reprise rapides pour une productivité instantanée.
  • Veille traditionnelle (S3) : Permet de réaliser de plus grandes économies d’énergie en mettant hors tension la plupart des composants, à l’exception de la RAM, et en préservant l’état du système pour un réveil plus rapide.
  • Hibernation (S4) : Maximise l’économie d’énergie en sauvegardant l’état du système sur le disque et en éteignant complètement l’appareil, ce qui est idéal pour les longues périodes d’inactivité.

Lorsque votre ordinateur passe en mode veille profonde, ses composants travaillent ensemble de manière optimale pour économiser de l’énergie. Les dispositifs de stockage s’éteignent progressivement pour minimiser la consommation d’énergie, les adaptateurs réseau réduisent leur activité tout en maintenant les connexions essentielles, et les processeurs graphiques passent à des niveaux de performance inférieurs en fonction des besoins du système. Cet effort coordonné garantit une efficacité maximale sans compromettre la fonctionnalité.

Déclencheurs de transition d’état

La transition entre les états de sommeil du PC s’opère par un système complexe de déclencheurs et de conditions qui répondent à de multiples facteurs. Alors que les modèles d’activité de l’utilisateur et les temporisateurs de veille du système déterminent les décisions initiales de mise en veille, le processus prend également en compte les seuils de température, les conditions matérielles et le comportement de l’application.

Types d’états de veille d’un PC : De la base à l’avancée

Les états de veille de Windows 10 ont évolué pour refléter la complexité croissante des besoins informatiques modernes.

Capacités de veille modernes

La veille moderne est une avancée significative dans la manière dont les états de veille de Windows 10 gèrent l’alimentation et la connectivité. Contrairement aux modes de veille traditionnels, le mode veille moderne maintient un état de connexion à faible consommation d’énergie, similaire à celui de votre smartphone.

Les principaux avantages de la veille moderne sont les suivants

  • Réaction de réveil instantanée similaire à celle des appareils mobiles
  • Synchronisation continue des courriels et des notifications en arrière-plan
  • Impact minimal sur la batterie pendant les périodes de veille
  • Gestion intelligente de la connexion au réseau

Gestion de la puissance au niveau du composant

Les processeurs modernes mettent en œuvre des technologies sophistiquées de contrôle de l’alimentation qui permettent aux composants individuels d’entrer dans des états d’alimentation ultra-faibles. Ce contrôle granulaire permet aux états de veille de Windows 10 d’optimiser la consommation d’énergie en fonction des exigences spécifiques du système. Lorsque certains composants ne sont pas nécessaires, ils peuvent être désactivés tout en conservant les fonctions essentielles.

Configurations de la source de réveil

Votre ordinateur de sommeil profond a besoin de règles claires pour savoir quand se réveiller. Windows 10 offre un contrôle précis sur ces sources de réveil, ce qui vous permet d’équilibrer l’accessibilité et les économies d’énergie. Les administrateurs de système peuvent configurer des modèles de réveil en fonction des besoins spécifiques de l’organisation tout en maintenant la sécurité et l’efficacité.

Les sources de réveil critiques comprennent l’activité du réseau, les périphériques et les tâches planifiées. Chaque source de sillage peut être configurée individuellement, créant ainsi une approche personnalisée qui correspond à votre cas d’utilisation spécifique tout en maintenant une efficacité énergétique optimale.

L’architecture informatique en sommeil profond expliquée

L’architecture qui sous-tend le sommeil profond dans les ordinateurs modernes représente un chef-d’œuvre d’ingénierie matérielle et logicielle fonctionnant en harmonie. La façon dont votre système gère la mémoire, les états d’alimentation et le comportement des composants pendant le sommeil détermine à la fois l’efficacité énergétique et l’expérience de l’utilisateur.

Gestion de la mémoire pendant l’hibernation

Lorsque votre système entre en hibernation profonde, il exécute une séquence soigneusement chorégraphiée d’opérations de gestion de la mémoire. Tout d’abord, le système prend un instantané du contenu de votre mémoire vive, en compressant les données pour minimiser les besoins de stockage.

Cette image mémoire compressée est ensuite écrite dans votre fichier d’hibernation (hiberfil.sys) sur le disque système, préservant ainsi votre état de travail tout en permettant l’arrêt complet du système.

La sophistication de ce processus est évidente dans la façon dont les états de veille de Windows 10 gèrent les différentes conditions de mémoire :

  • Les pages de mémoire actives sont prioritaires pour des séquences de réveil plus rapides.
  • Les données critiques du système font l’objet d’un traitement spécial pour garantir leur fiabilité.
  • Les pages de mémoire inutilisées peuvent être exclues pour réduire la taille du fichier d’hibernation.
  • Les algorithmes de compression de la mémoire s’adaptent à la vitesse de stockage disponible.

Différences de consommation d’énergie

Le sommeil profond représente l’état d’alimentation le plus efficace dont disposent les ordinateurs modernes, consommant une énergie proche de zéro tout en maintenant la persistance des données. Le système y parvient en arrêtant progressivement les composants dans une séquence spécifique :

  1. Tout d’abord, les périphériques externes entrent dans leur état d’alimentation le plus bas.
  2. Ensuite, les composants internes tels que les adaptateurs réseau s’éteignent.
  3. Enfin, les principaux composants du système passent en mode ultra-basse consommation.

Conséquences sur le temps de récupération

Les économies d’énergie maximales s’accompagnent d’un compromis en termes de temps de récupération. Lorsqu’il se réveille d’un sommeil profond, votre ordinateur doit restaurer méthodiquement l’état du système selon une séquence prédéfinie.

Votre système suit une chorégraphie de réveil précise :

  • Les contrôleurs de stockage s’initialisent en premier.
  • Les contrôleurs de mémoire se préparent à la restauration des données.
  • La mémoire du système se reconstitue à partir du fichier d’hibernation.
  • Les conducteurs et les services reprennent leur fonctionnement normal.

Facteurs de compatibilité matérielle

Tous les appareils ne prennent pas en charge les états de sommeil profond de la même manière. Les systèmes modernes mettent en œuvre les normes ACPI (Advanced Configuration and Power Interface) de manière différente, ce qui entraîne des variations dans le comportement de l’état de veille. Le succès dépend de plusieurs facteurs critiques :

  1. Qualité de la mise en œuvre du BIOS/UEFI
  2. Compatibilité du conducteur avec les états de puissance
  3. Prise en charge matérielle de différents niveaux de sommeil
  4. Exigences en matière d’alimentation des composants du système

Maximiser l’efficacité de l’état de sommeil

La réussite des états de veille de Windows 10 nécessite une configuration et un suivi minutieux. L’optimisation de ces paramètres permet de promouvoir l’efficacité et la fiabilité tout en répondant aux besoins spécifiques de votre organisation.

Personnaliser les seuils de transition

Les transitions d’alimentation dans les états de veille des PC doivent être soigneusement réglées pour équilibrer la réactivité et les économies d’énergie. Commencez par analyser vos habitudes d’utilisation afin de déterminer le moment optimal pour l’entrée en état de veille. Lors de la définition de ces seuils, il convient de prendre en compte des facteurs tels que le comportement des applications, les modèles d’activité des utilisateurs et la charge de travail du système.

Optimiser les paramètres de sillage

Une configuration efficace des paramètres de réveil permet à l’ordinateur en sommeil profond de répondre de manière transparente à divers déclencheurs. Commencez par identifier les sources de sillage essentielles pour votre environnement – par exemple les connexions réseau pour les serveurs ou les entrées clavier pour les postes de travail. Créez ensuite une politique de réveil hiérarchique qui donne la priorité aux événements critiques tout en empêchant l’activation inutile du système.

Prenez en compte ces stratégies clés d’optimisation des sillages :

  1. Configurer les adaptateurs réseau pour qu’ils ne répondent qu’à des paquets spécifiques.
  2. Régler les périphériques sur des niveaux de réveil appropriés.
  3. Mettre en place des heures de réveil programmées pour la maintenance.
  4. Établir des politiques claires pour la gestion des sources de réveil.

Surveiller les transitions d’état

Comprendre comment votre système passe d’un état de veille à l’autre de Windows 10 nécessite une surveillance constante. Windows fournit des outils intégrés qui permettent de suivre le calendrier des transitions, les taux de réussite et les problèmes potentiels. L’analyse régulière de ces paramètres permet d’identifier les problèmes avant qu’ils ne deviennent réels et n’affectent la productivité.

Dépanner les problèmes courants

Même les états de sommeil bien configurés rencontrent parfois des problèmes. Un dépannage réussi de nécessite une approche systématique qui identifie les causes profondes plutôt que de se contenter de traiter les symptômes.

En cas de problème, suivez cette approche structurée :

  1. Examinez les journaux d’événements pour détecter les erreurs liées au sommeil.
  2. Vérifier la compatibilité du pilote avec les états d’alimentation.
  3. Analyser le comportement des applications en veille.
  4. Tester le support de mise en veille des composants matériels.

Maîtriser les états de veille de Windows 10

La maîtrise des états de veille de Windows 10 permet aux professionnels de l’informatique de trouver l’équilibre parfait entre la disponibilité du système et l’efficacité énergétique. Prenez le contrôle de votre stratégie de gestion de l’alimentation dès maintenant en mettant en œuvre ces optimisations de l’état de veille afin d’améliorer à la fois les performances et la conservation de l’énergie sur les appareils de votre entreprise.

La plateforme de surveillance et de gestion à distance de NinjaOne vous permet de gérer facilement les appareils Windows, Apple et Android par le biais d’une interface web intuitive. Grâce à une intégration poussée de la gestion de l’alimentation de Windows, vous pouvez surveiller le matériel, suivre l’état de la batterie et automatiser les tickets de remplacement de la batterie. Essayez NinjaOne gratuitement et mettez à niveau votre gestion des appareils dès aujourd’hui.

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Comment exécuter des commandes en tant qu’un autre utilisateur sur Windows 10 https://www.ninjaone.com/fr/blog/executer-des-commandes-en-tant-qu-un-autre-utilisateur/ Tue, 18 Feb 2025 11:55:34 +0000 https://www.ninjaone.com/?p=425399 Dans cet article, vous apprendrez comment exécuter des commandes en tant qu’un autre utilisateur sur Windows 10. Les administrateurs de systèmes ont souvent besoin d’exécuter des commandes avec des identifiants différents ou élevés pour la gestion de la sécurité et de l’accès. Bien qu’il existe plusieurs méthodes pour utiliser la commande “runas” dans Windows 10, le choix de la bonne approche dépend de vos besoins spécifiques et de vos exigences en matière de sécurité.

Premiers pas avec les commandes “Exécuter en tant que” dans Windows

Le concept d’exécuter des commandes en tant qu’un autre utilisateur remonte à Windows NT, lorsque Microsoft a introduit pour la première fois un véritable support multi-utilisateurs. L’interface Windows 10 d’aujourd’hui s’appuie sur cette base tout en ajoutant des fonctionnalités de sécurité modernes et une expérience utilisateur plus intuitive.

Comprendre l’interface utilisateur de Windows

L’interface Windows offre plusieurs points d’entrée pour exécuter des commandes en tant qu’autre utilisateur. Du menu contextuel familier du clic droit à l’interface simplifiée du menu Démarrer, Windows 10 intègre ces fonctionnalités dans l’ensemble du système d’exploitation. Chaque point d’accès répond à des besoins administratifs et à des contextes de sécurité différents.

Terminologie clé pour le changement d’utilisateur

Avant d’explorer des méthodes d’exécution de commandes spécifiques, familiarisez-vous avec ces concepts importants :

  • Les jetons de sécurité servent de clés numériques que Windows génère au cours du processus d’authentification et qui contiennent les identifiants de sécurité de l’utilisateur et les niveaux d’autorisation spécifiques qui déterminent les capacités d’accès aux ressources.
  • Contexte de l’utilisateur définissent les limites de sécurité dans lesquelles les applications et les commandes s’exécutent, en déterminant les ressources du système et les emplacements du réseau auxquels le processus peut accéder.
  • Les droits d’élévation déterminent si un utilisateur peut effectuer des tâches administratives, le contrôle des comptes d’utilisateurs (UAC ) gérant le processus d’élévation des privilèges afin d’empêcher toute modification non autorisée du système.
  • Identifiants de sécurité (SID) sont des identifiants uniques que Windows attribue aux utilisateurs et aux groupes. Ils jouent un rôle dans la détermination des autorisations d’accès lors de l’exécution de commandes en tant qu’utilisateurs différents.

Quatre façons d’exécuter des commandes en tant qu’un autre utilisateur

Lorsque vous devez vous exécuter en tant qu’utilisateur différent dans Windows 10, le choix de la bonne méthode garantit à la fois la sécurité et l’efficacité. Nous allons explorer chaque approche à l’aide d’étapes détaillées et d’exemples pratiques que les administrateurs de systèmes utilisent quotidiennement.

1 : Utiliser la boîte de dialogue intégrée “Exécuter en tant qu’administrateur

La méthode graphique pour s’exécuter en tant qu’utilisateur différent dans Windows 10 propose deux approches distinctes :

Méthode A – Exécuter en tant qu’un autre utilisateur :

  1. Maintenez la touche Majuscule enfoncée et cliquez avec le bouton droit de la souris sur l’application ou le fichier exécutable.
  2. Sélectionnez “Exécuter en tant qu’un autre utilisateur” dans le menu contextuel.
  3. Dans la boîte de dialogue de sécurité, saisissez les informations d’identification :
    • Pour les comptes locaux : saisir .\Nom_d’utilisateur
    • Pour les comptes de domaine : entrez le nom de domaine
    • Pour les comptes Microsoft : utiliser l’adresse électronique complète
  4. Saisissez le mot de passe.
  5. Cliquez sur “Oui” pour approuver l’invite du Contrôle de compte d’utilisateur si elle apparaît.

Méthode B – Exécuter en tant qu’administrateur :

  1. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur l’application ou l’exécutable.
  2. Sélectionnez “Exécuter en tant qu’administrateur”
  3. Si vous y êtes invité, entrez vos informations d’identification administratives.
  4. Confirmez la boîte de dialogue Contrôle de compte d’utilisateur.

2 : Mise en œuvre de la syntaxe “runas” de l’invite de commande

La commande “runas” offre des options puissantes pour exécuter des commandes en tant qu’autre utilisateur. Voici la syntaxe détaillée :

Structure de commandement de base :

  1. Ouvrez l’invite de commande.
  2. Utilisez le format suivant : runas /user:username “application”
    • Exemple d’utilisateur local : runas /user :.administrator “notepad.exe”
    • Exemple pour un utilisateur de domaine : runas /user:mydomain\admin “cmd.exe”

Paramètres avancés :

  • /savecred – Sauvegarde les informations d’identification pour une utilisation ultérieure (Exemple : runas /savecred /user:domain\nomdutilisateur “powershell.exe”)
  • /netonly – Utilise les informations d’identification uniquement pour les ressources réseau (Exemple : runas /netonly /user:domain\username “mmc.exe”)
  • /noprofile – Empêche le chargement du profil de l’utilisateur (exemple : runas /noprofile /user:username@domain.com “cmd.exe”)

3 : Exploiter les commandes PowerShell execute-as

PowerShell propose plusieurs méthodes pour exécuter des commandes en tant qu’utilisateurs différents :

Méthode de session interactive :

  1. Lancez PowerShell.
  2. Entrer : Start-Process powershell -Credential (Get-Credential).
  3. Dans l’invite d’identification :
    • Format du nom d’utilisateur : domain\user ou user@domain.com
    • Saisir le mot de passe.

Méthode d’exécution du script :

  1. Stocker les informations d’identification en toute sécurité : $Cred = Get-Credential
  2. Exécuter des commandes : Start-Process -FilePath “powershell.exe” -ArgumentList “Get-Service” -Credential $Cred

Exécution à distance :

  1. Créer une session : $Session = New-PSSession -ComputerName “Server01” -Credential (Get-Credential)
  2. Entrez dans la session : Enter-PSSession $Session

4 : Utiliser le gestionnaire de justificatifs d’identité de Windows

Gérer les informations d’identification stockées en vue d’une utilisation répétée :

Mise en place des informations d’identification :

  1. Gestionnaire de justificatifs d’accès :
    • Appuyez sur Windows + R.
    • Tapez “control /name Microsoft.CredentialManager”.
    • Appuyez sur Entrer.
  2. Ajouter de nouvelles informations d’identification Windows :
    • Cliquez sur “Ajouter un identifiant Windows”
    • Saisir l’adresse du réseau (serveur ou domaine).
    • Saisir le nom d’utilisateur et le mot de passe.
    • Cliquez sur “OK”

Automatiser l’exécution de la commande de l’utilisateur

La possibilité de fonctionner en tant qu’utilisateur différent dans Windows 10 nécessite une automatisation intelligente. Voyons comment les équipes informatiques des entreprises transforment les processus manuels en flux de travail efficaces et automatisés.

Créer des scripts réutilisables

Transformez les tâches répétitives en puissants outils d’automatisation en créant des scripts PowerShell réutilisables qui gèrent la gestion des informations d’identification et l’exécution des commandes :

  1. Créer un magasin d’informations d’identification sécurisé : $CredPath = “C:\NSecureCredentials” Export-CliXml -Path $CredPath.
  2. Élaborer un modèle de fonction : Function Invoke-AsUser { param($Command, $CredentialPath) }.
  3. Mettre en œuvre la gestion des erreurs :
    • Ajout de blocs try-catch pour la validation des informations d’identification.
    • Inclure des mécanismes de journalisation.
    • Intégrer des paramètres de délai d’attente.

Créer des séquences de tâches

Organiser plusieurs commandes en séquences logiques qui maintiennent le contexte de l’utilisateur tout au long de l’exécution :

  1. Définir la structure de la séquence :
    • Validation des prérequis
    • Changement de contexte initial de l’utilisateur
    • Exécution de la commande primaire
    • Vérification du statut
    • Restauration du contexte
  2. Construire la récupération des erreurs :
    • Création de points de contrôle
    • Procédures d’annulation
    • Systèmes de notification

Mise en œuvre d’exécutions programmées

Configurer le planificateur de tâches de Windows pour qu’il exécute des commandes en tant que différents utilisateurs à des intervalles spécifiés :

Étapes de création de la tâche :

  1. Ouvrir le planificateur de tâches.
  2. Sélectionnez “Créer une tâche” (pas une tâche de base).
  3. Configurer les options de sécurité :
    • S’exécute que l’utilisateur soit connecté ou non.
    • Stocker les informations d’identification en toute sécurité.
    • Définir les privilèges les plus élevés.

Configuration du déclencheur :

  • Définir le calendrier d’exécution.
  • Définir les paramètres de réessai.
  • Configurer les conditions d’inactivité.
  • Établir des déclencheurs de réseau.

Gérer les flux de travail automatisés

La mise en œuvre d’un système de gestion des flux de travail révolutionne la façon dont vous exécutez des commandes en tant qu’utilisateur différent dans Windows 10. Lors de l’élaboration de votre cadre d’automatisation, concentrez-vous sur la création d’un tableau de bord centralisé qui offre une visibilité en temps réel sur l’état de l’exécution, l’état des informations d’identification et l’état du système.

Cadres de délégation des commandes d’entreprise

Les environnements d’entreprise nécessitent des cadres sophistiqués pour gérer la façon dont les utilisateurs exécutent des commandes en tant que différents utilisateurs dans Windows 10. Ces cadres transforment l’exécution de commandes de base en un processus géré et contrôlable qui s’aligne sur les bonnes pratiques de sécurité et les exigences de conformité.

Mise en place de systèmes basés sur les rôles

Les entreprises modernes ont besoin d’un contrôle granulaire lorsque les employés s’exécutent en tant qu’utilisateurs différents dans Windows 10. Le contrôle d’accès basé sur les rôles (RBAC) transforme ce défi en opportunité en associant des droits d’exécution de commandes spécifiques à des fonctions professionnelles. Les organisations doivent définir des hiérarchies de rôles basées sur les besoins administratifs, créer des groupes de sécurité alignés et établir des autorisations d’exécution précises qui correspondent aux exigences spécifiques de l’entreprise.

Le succès de la mise en œuvre de la RBAC exige une surveillance vigilante par le biais de contrôles d’attestation réguliers et d’un ajustement dynamique des privilèges. Le cadre de sécurité de votre organisation doit comprendre l’expiration automatisée des rôles, des protocoles d’accès d’urgence et des processus de validation continue qui permettent aux commandes de s’exécuter dans les limites de sécurité établies.

Création de protocoles de flux de travail

Transformez l’exécution de commandes ad hoc en flux de travail structurés qui garantissent la cohérence et la sécurité. Commencez par concevoir des matrices d’approbation pour les commandements élevés qui s’intègrent aux systèmes de gestion des changements existants. Le cadre de votre flux de travail doit comprendre les éléments suivants :

Éléments de conception :

  • Matrices d’approbation pour les commandes élevées
  • Intégration de la gestion du changement
  • Exigences en matière de documentation

Le cadre opérationnel transforme ces éléments en processus exploitables grâce à une approche structurée :

  1. Établir des lignes directrices claires pour la présentation des demandes.
  2. Mettre en place des flux d’approbation à plusieurs niveaux.
  3. Définir les étapes de validation de l’exécution.
  4. Créer des normes de documentation des résultats.

Mise en place de processus de vérification

La vérification est le pilier d’une délégation de commande sécurisée. Créer des systèmes de validation complets qui vérifient les commandes avant leur exécution, contrôlent leur impact pendant l’exécution et vérifient les résultats par la suite. Cette approche en trois phases permet de s’assurer que chaque commande élevée est conforme aux politiques de sécurité.

Les points de contrôle essentiels de la validation sont les suivants :

  • Analyse de sécurité préalable à l’exécution
  • Vérification de la syntaxe des commandes
  • Évaluation de l’impact sur les ressources

La gestion de la façon dont les utilisateurs exécutent des commandes en tant qu’utilisateurs différents dans Windows 10 nécessite des solutions performantes, adaptées aux grandes entreprises, qui évoluent avec votre entreprise. Avec NinjaOne vous pouvez transformer votre gestion des commandes dès maintenant grâce à notre plateforme de sécurité complète qui optimise l’implémentation tout en maintenant des normes de sécurité rigoureuses. Essayez-le maintenant gratuitement et découvrez l’impact d’une délégation de commande intelligente pour votre entreprise.

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Comment revenir à la version précédente du pilote d’un appareil Windows 10 https://www.ninjaone.com/fr/blog/comment-revenir-a-la-version-precedente-du-pilote-d-un-appareil-windows-10/ Tue, 18 Feb 2025 11:53:03 +0000 https://www.ninjaone.com/?p=425389 Dans cet article, vous apprendrez comment revenir à la version précédente du pilote d’un appareil sur Windows 10. Les pilotes de périphériques sont les héros méconnus de votre système Windows 10. Ils permettent à votre matériel et à vos logiciels de fonctionner ensemble de manière optimale. Mais lorsqu’une mise à jour de pilote ne se déroule pas correctement, elle peut entraîner des problèmes de performances frustrants, voire une instabilité du système.

Heureusement, Windows 10 offre une option intégrée pour rétablir les pilotes, ce qui vous permet de revenir à une version précédente qui fonctionnait correctement. Dans ce guide, nous vous guiderons pas à pas pour que votre système fonctionne à nouveau correctement en un rien de temps.

Comprendre les pilotes de périphériques et les questions de mise à jour

Qu’est-ce qu’un pilote de périphérique ?

Les pilotes de périphériques sont des logiciels spécialisés qui font le lien entre le système d’exploitation de votre ordinateur et ses composants matériels. Qu’il s’agisse de votre carte graphique, de votre imprimante ou de votre clavier, chaque pièce de matériel dépend d’un pilote pour communiquer avec Windows 10. Sans les pilotes appropriés, votre système a du mal à reconnaître et à utiliser efficacement son matériel.

Pourquoi les pilotes de périphériques sont-ils importants ?

Les pilotes jouent un rôle essentiel dans le maintien de la stabilité du système et la garantie de performances matérielles optimales. Les pilotes mis à jour peuvent introduire de nouvelles fonctionnalités, améliorer la compatibilité et corriger des bogues, ce qui contribue à une expérience informatique plus fluide et plus fiable. Cependant, toutes les mises à jour ne sont pas parfaites : elles peuvent parfois causer plus de tort que de bien.

Problèmes courants après la mise à jour d’un pilote

Malgré leur importance, les mises à jour de pilotes peuvent parfois entraîner des problèmes. Parmi les problèmes les plus courants, on peut citer :

  • Crashs du système : Un pilote mal optimisé ou incompatible peut provoquer le redoutable écran bleu de la mort (BSOD).
  • Dysfonctionnements matériels : Les dispositifs peuvent ne pas fonctionner correctement ou ne pas être reconnus par le système.
  • Baisse des performances : Les nouveaux pilotes peuvent involontairement réduire les performances ou introduire des problèmes, en particulier dans les composants graphiques et audio.

Scénarios de retour à la version précédente d’un pilote de périphérique

Les mises à jour de pilotes sont conçues pour améliorer les fonctionnalités et la compatibilité, mais elles ne se déroulent pas toujours comme prévu. Voici quelques scénarios courants dans lesquels il est nécessaire de rétablir un pilote de périphérique :

1. Dysfonctionnements du matériel ou problèmes de performance

Un pilote récemment mis à jour peut parfois entraîner un comportement imprévisible de votre matériel. Par exemple, une imprimante peut cesser de répondre, une carte graphique peut présenter des artefacts visuels ou votre périphérique audio peut produire un son déformé. Le retour à la version précédente du pilote peut rapidement résoudre ces problèmes et rétablir un fonctionnement correct.

2. Incompatibilité avec le matériel ou les logiciels

Il peut arriver que les pilotes mis à jour ne fonctionnent pas correctement avec certaines configurations matérielles ou certains logiciels installés. Par exemple, un nouveau pilote peut ne pas prendre en charge certains appareils anciens ou entrer en conflit avec des applications essentielles. Dans ce cas, le retour à l’ancien pilote compatible garantit que votre système continue à fonctionner comme prévu.

3. Dépannage des erreurs du système

En cas d’instabilité du système ou d’erreurs, telles que des pannes fréquentes ou l’écran bleu (BSOD), l’annulation d’une mise à jour de pilote peut être une étape de dépannage efficace. Si les problèmes ont commencé peu après une mise à jour du pilote, c’est souvent le signe que le nouveau pilote est le coupable. Le retour à une version stable connue peut vous aider à diagnostiquer et à résoudre le problème.

Préparation avant de rétablir un pilote de périphérique dans Windows 10

Avant de commencer le processus de retour en arrière, il convient de suivre ces étapes préparatoires importantes :

  1. Connectez-vous à Windows 10 avec un compte administrateur, car les utilisateurs standard ne peuvent pas modifier les paramètres du pilote.
  2. Vérifiez que votre système dispose d’une version antérieure du pilote sur laquelle revenir – cette option n’est disponible que si une version différente du pilote était installée sur votre système avant la mise à jour problématique.
  3. Créez un point de restauration du système pour vous assurer que vous pouvez récupérer votre système si quelque chose se passe mal pendant le processus.

Marche à suivre pour annuler la mise à jour d’un pilote de périphérique

Accès au gestionnaire de périphériques sous Windows 10

  1. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le bouton Démarrer (icône Windows) ou appuyez sur les touches Windows + X
  2. Sélectionnez “Gestionnaire de périphériques” dans le menu
  3. Dans le Gestionnaire de périphériques, localisez la catégorie contenant le périphérique qui pose problème
  4. Développez la catégorie en cliquant sur la flèche située à côté

Exécution du retour à la version précédente du pilote

  1. Cliquer avec le bouton droit de la souris sur le dispositif spécifique qui pose problème
  2. Sélectionnez “Propriétés” dans le menu contextuel
  3. Cliquez sur l’onglet “Pilote” dans la fenêtre Propriétés
  4. Cliquez sur le bouton “Retour à la version précédente du pilote”
  5. Sélectionnez un motif de retour en arrière lorsque vous y êtes invité
  6. Cliquez sur “Oui” pour confirmer et commencer le processus de retour en arrière

Terminer le processus

Une fois le retour en arrière effectué, vous devrez redémarrer votre ordinateur pour que les modifications soient prises en compte. Sauvegardez tout travail en cours avant de redémarrer, car Windows devra réinitialiser l’appareil avec la version précédente du pilote.

Résolution des problèmes courants lors d’un retour en arrière

Lorsque l’option de retour en arrière n’est pas disponible

Si le bouton “Rétablir le pilote” est grisé, cela signifie généralement que Windows n’a pas stocké de version antérieure du pilote. Dans ce cas, vous pouvez :

  1. Visitez le site web du fabricant de l’appareil pour télécharger une version plus ancienne du pilote
  2. Utilisez la bibliothèque de pilotes intégrée de Windows en cliquant sur “Mettre à jour le pilote” et en choisissant “Rechercher des pilotes sur mon ordinateur”
  3. Sélectionnez “Let me pick from a list of available drivers on my computer” pour voir si des versions plus anciennes sont disponibles

Vérification de la réussite du retour à la version précédente

Pour confirmer que le retour en arrière s’est déroulé correctement :

  1. Retournez dans le “Gestionnaire de périphériques” et vérifiez la version du pilote dans la fenêtre “Propriétés”
  2. Tester le fonctionnement de l’appareil pour s’assurer que les problèmes précédents ont été résolus
  3. Vérifier l’observateur d’événements de Windows pour tout message d’erreur connexe

Prévenir les futurs problèmes de mise à jour des pilotes

Pour éviter les problèmes liés aux futures mises à jour des pilotes, prenez les mesures préventives suivantes :

  1. Créez toujours un point de restauration du système avant d’installer des mises à jour de pilotes
  2. Recherchez les nouvelles versions de pilotes avant de les installer, en particulier pour le matériel critique
  3. Configurer “Windows Update” pour qu’il vous avertisse avant d’installer les mises à jour de pilotes
  4. Conservez les versions des pilotes qui fonctionnent pour votre matériel spécifique

Bonnes pratiques de la gestion des pilotes

Maintenir la stabilité du système tout en gardant les pilotes à jour nécessite une approche équilibrée. Voici quelques pratiques recommandées :

  • Ne mettez à jour les pilotes que si vous rencontrez des problèmes ou si vous avez besoin de nouvelles fonctionnalités
  • Télécharger les pilotes directement à partir des sites web des fabricants plutôt qu’à partir de sources tierces
  • Gardez une trace de l’installation de nouveaux pilotes et de tout changement dans les performances du système
  • Envisagez d’utiliser un logiciel de sauvegarde des pilotes pour sauvegarder les versions opérationnelles des pilotes

En résumé

Le retour en arrière d’un pilote de périphérique peut résoudre efficacement les problèmes matériels causés par des mises à jour problématiques. Bien que le processus soit simple, il est important de l’aborder de manière méthodique et de conserver des sauvegardes des configurations de travail. Si les problèmes persistent après avoir rétabli un pilote, envisagez de demander de l’aide aux ressources d’assistance du fabricant de l’appareil ou à la documentation d’aide de Microsoft.

N’oubliez pas que la gestion des pilotes est un aspect important de la maintenance du système. En suivant les étapes et les bonnes pratiques décrites dans ce guide, vous pouvez maintenir un système Windows 10 stable et efficace tout en minimisant le risque de problèmes liés aux pilotes.

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Comment générer un rapport sur la batterie dans Windows 10 https://www.ninjaone.com/fr/blog/generer-un-rapport-sur-la-batterie-dans-windows-10/ Tue, 18 Feb 2025 11:51:42 +0000 https://www.ninjaone.com/?p=425388 Dans cet article, vous apprendrez comment générer un rapport sur la batterie dans Windows 10. Les diagnostics de batterie constituent un pilier de la maintenance proactive des systèmes dans les environnements Windows modernes. Chaque cycle de charge, chaque relevé de tension et chaque transition d’état d’alimentation fournit des points de données qui, lorsqu’ils sont analysés ensemble, révèlent une interaction complexe entre votre matériel, votre logiciel et vos systèmes de gestion de l’alimentation.

Comprendre les principes de base du diagnostic des batteries

Les diagnostics de batterie dans Windows 10 permettent aux administrateurs système d’avoir une vision approfondie de la gestion de l’énergie des appareils. La création d’un rapport sur de la batterie révèle des données utiles sur l’intégrité du système, les schémas d’utilisation et les possibilités d’optimisation.

Indicateurs de base pour les rapports sur l’alimentation

Le rapport sur la batterie de Windows 10 recueille des points de données complets et offre un tableau détaillé de l’utilisation de l’énergie de votre système. Ces paramètres constituent la base de l’analyse énergétique :

Transitions de l’état l’alimentation :

  • Temps passé dans les états actifs
  • Fréquence du mode veille
  • Modèles de durée d’hibernation
  • Événements de reprise du système

Le système de rapport suit les mesures en temps réel et les tendances à long terme, ce qui vous permet de prendre des décisions éclairées sur la configuration du système et la maintenance du matériel.

Modèles de consommation d’énergie du système

L’analyse de la consommation d’énergie montre comment votre appareil consomme de l’énergie lors d’opérations typiques. Windows peut vous fournir des informations détaillées sur la consommation d’énergie de plusieurs composants du système, en mesurant à la fois les pics de consommation lors d’activités intensives et la consommation de base lorsque votre appareil est inactif.

Les processeurs modernes contiennent des fonctions sophistiquées de gestion de l’énergie qui répondent de manière dynamique aux exigences de la charge de travail. Le rapport sur la batterie de Windows 10 rend compte de ces variations, en montrant comment les différents scénarios d’utilisation affectent la consommation d’énergie globale. Grâce à ces données, vous pouvez adapter vos plans d’alimentation à vos besoins spécifiques, qu’il s’agisse d’optimiser l’autonomie de la batterie ou d’augmenter les performances.

Indicateurs de l’état de la batterie

L’état de santé de votre batterie  a un impact direct sur la fiabilité et les performances du système. Le rapport analyse plusieurs indicateurs de santé essentiels :

  1. Capacité nominale par rapport à la capacité actuelle
  2. Fluctuations de tension pendant les cycles de charge
  3. Modèles de température en cas d’utilisation intensive
  4. Cohérence du taux de décharge

Ces indicateurs permettent de prévoir la durée de vie de la batterie et d’identifier les problèmes potentiels avant qu’ils n’affectent la productivité.

Mesures du cycle d’utilisation

La compréhension des cycles de batterie fournit un contexte crucial pour l’analyse des performances. Le rapport permet de suivre les cycles de charge complets, les charges partielles et les schémas de durée d’utilisation. Ces données révèlent si votre batterie est utilisée de manière optimale et permettent d’identifier les comportements susceptibles de réduire sa durée de vie.

Les batteries de haute qualité conservent généralement de bonnes performances pendant 300 à 500 cycles de charge complets. Le rapport d’estimation de la batterie Windows permet de suivre l’évolution de ces cycles, ce qui permet de prendre des décisions éclairées sur le calendrier de remplacement de la batterie et sur les ajustements à apporter aux habitudes d’utilisation.

Étapes pour créer un rapport sur l’alimentation dans Windows 10

En tant qu’administrateur système, apprendre à créer un rapport énergétique dans Windows 10 ouvre de puissantes possibilités de diagnostic. Les étapes ci-dessous vous aideront à générer des évaluations complètes de la consommation d’énergie de votre système et de l’état général de la batterie .

Accès à l’invite de commande administrative

Vous devez disposer d’un accès administratif pour pouvoir recueillir des informations détaillées sur le système et générer une analyse précise de la puissance. Lancez l’Invite de commande en tant qu’administrateur en cliquant avec le bouton droit de la souris sur le menu Démarrer et en sélectionnant “Windows PowerShell (Admin)” ou “Invite de commande (Admin)” Cet accès élevé permet de vérifier que les outils de diagnostic peuvent examiner tous les composants du système et recueillir des données complètes sur l’utilisation de l’énergie.

Comprendre les commandes de génération de rapports

La commande “powercfg” est l’outil principal pour créer votre rapport de batterie Win 10. Cet utilitaire polyvalent offre plusieurs options pour personnaliser votre analyse :

Génération de rapports de base :

  • powercfg /batteryreport génère une analyse standard
  • powercfg /energy fournit une évaluation plus large du système
  • powercfg /sleepstudy examine les transitions de l’état d’alimentation

La structure de commande prend en charge des paramètres supplémentaires qui permettent d’affiner l’analyse en fonction de vos besoins spécifiques.

Sélection des paramètres de sortie

Personnalisez votre rapport d’estimation de l’énergie de la batterie en sélectionnant les paramètres de sortie qui correspondent à votre objectif. Windows vous permet de spécifier :

  1. Durée du rapport et calendrier
  2. Emplacement et format du fichier de sortie
  3. Mesures spécifiques à inclure
  4. Niveau de détail des différents composants

Ces paramètres vous permettent de vous concentrer sur les données pertinentes et de rendre les résultats plus exploitables. Tenez compte de vos objectifs de diagnostic lors de la sélection des paramètres afin de vous assurer que le rapport fournit des informations significatives.

Interpréter les emplacements des rapports

Windows génère des rapports au format HTML dans votre répertoire système par défaut – C:\NWindows\NSystem32\Nbattery-report.html. Bien que cela facilite l’accès, vous pouvez également spécifier des emplacements personnalisés lorsque vous générez ces rapports. Pour une analyse efficace, il est essentiel de savoir comment stocker et accéder à vos rapports.

Lorsque vous choisissez votre emplacement personnalisé, tenez compte de l’accessibilité de votre réseau et des exigences en matière de sécurité, car l’emplacement peut influer sur la façon dont vous pouvez partager et analyser vos résultats. Ceci est particulièrement vrai pour les environnements d’entreprise où plusieurs administrateurs peuvent avoir besoin d’accéder aux mêmes données de diagnostic.

Analyse des données du rapport de batterie sur Windows 10

Pour tirer le meilleur parti de votre rapport sur la batterie, concentrez-vous sur l’analyse de la répartition détaillée des schémas d’utilisation de l’énergie. Ces données vous aident à repérer rapidement les possibilités d’optimiser les performances, d’améliorer l’efficacité et de maintenir votre système de manière efficace.

Ventiler les statistiques d’utilisation

Votre rapport sur la batterie de Windows 10 commence par des statistiques d’utilisation complètes sur la façon dont votre appareil consomme de l’énergie tout au long de la journée. Ces schémas indiquent quand votre système connaît des pics de consommation d’énergie et identifient les périodes de consommation inhabituelle. Le rapport suit le temps d’utilisation active, les périodes de sommeil et les états de veille connectés, ce qui permet de comprendre comment les différents scénarios d’utilisation affectent la durée de vie de la batterie.

Comprendre vos habitudes de chargement

La section d’analyse de la charge révèle des informations cruciales sur la façon dont votre batterie interagit avec sa source d’alimentation. Les cycles de charge récents indiquent à la fois la durée et l’intégralité des sessions de charge, ce qui vous aide à identifier d’éventuelles irrégularités de charge. Le rapport suit des paramètres tels que la capacité de charge, les niveaux de tension pendant la charge et le temps nécessaire pour atteindre la charge complète.

Évaluer les tendances en matière de capacité des batteries

L’analyse de la capacité de la batterie constitue un élément essentiel du rapport, car elle montre comment la capacité réelle de votre batterie se compare à ses spécifications de conception. Le rapport suit l’évolution des capacités au fil du temps à l’aide de plusieurs indicateurs clés :

  • Capacité nominale par rapport à la capacité actuelle
  • Historique de la capacité de charge complète
  • Nombre de cycles et niveau d’usure
  • Cohérence du taux de décharge

Identifier les applications consommatrices d’énergie

Le rapport comprend également une analyse détaillée de la consommation d’énergie par application, ce qui vous aide à identifier les programmes qui consomment trop d’énergie. Ces informations permettent d’optimiser la configuration du système en identifiant :

  • Applications présentant une activité excessive en arrière-plan
  • Programmes provoquant des réveils inattendus
  • Services consommant une puissance disproportionnée
  • Variations de l’efficacité énergétique en cours d’exécution

Prendre des décisions à partir des résultats de l’estimation de la batterie

Le rapport d’estimation de l’énergie de votre batterie fournit des informations précieuses qui guident les actions immédiates et la planification à long terme.

Indicateurs de remplacement du matériel

Lorsque vous examinez le rapport de votre batterie Win 10, plusieurs indicateurs clés permettent de déterminer si le remplacement de la batterie est nécessaire. Les batteries lithium-ion modernes conservent généralement 80 % de leur capacité initiale après 300 à 500 cycles de charge. Voici quelques comportements qui peuvent indiquer qu’il est temps de remplacer la batterie :

  • La capacité tombe en dessous de 70 % de la conception initiale.
  • Les cycles de charge se terminent anormalement vite.
  • Il y a des fluctuations de tension inattendues.
  • La batterie subit des variations de température irrégulières pendant la charge.

Les données historiques du rapport examinent les schémas de déclin progressif de la capacité au fil du temps. Une baisse régulière peut suggérer une usure normale, mais une chute soudaine peut indiquer une défaillance potentielle de la batterie et la nécessité de la remplacer.

Recommandations sur le modèle d’utilisation

Les données temporelles détaillées de votre rapport d’estimation de la batterie révèlent comment les différents modes d’utilisation affectent l’autonomie de la batterie. Considérez ces stratégies qui ont fait leurs preuves :

  • Maintenir le niveau de la batterie entre 20 % et 80 % de sa capacité.
  • Éviter les rejets fréquents et peu profonds.
  • Limiter l’exposition aux températures élevées.
  • Programmer le chargement en fonction des rythmes de travail habituels.

Ajustements et réglages finaux

Ajustez vos paramètres d’alimentation à l’aide des informations fournies par le rapport sur la batterie afin de mieux équilibrer les performances et la durée de vie de la batterie. Personnalisez vos plans d’alimentation Windows en fonction de vos besoins, par exemple en créant un plan pour prolonger l’autonomie de la batterie lorsque vous voyagez et un autre pour obtenir des performances optimales lorsque vous êtes connecté à une source d’alimentation. L’adaptation de ces plans garantit le fonctionnement efficace de votre système dans tous les cas de figure.

Surveillez et gérez vos appareils Windows, Apple et Android depuis n’importe où grâce à la plateforme complète de gestion à distance  de NinjaOne. Notre intégration transparente avec la gestion de l’alimentation de Windows fournit des informations détaillées sur le matériel, suit l’état de la batterie et crée des tickets de service automatiques lorsque les batteries doivent être remplacées. Transformez votre approche de la gestion des appareils avec NinjaOne. Commencez votre essai gratuit dès aujourd’hui.

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Comment configurer l’option “Exécuter en tant qu’utilisateur différent” sur Windows 10 ? https://www.ninjaone.com/fr/blog/configure-run-as-different-user/ Tue, 18 Feb 2025 11:49:17 +0000 https://www.ninjaone.com/?p=425386 Windows propose des options avancées de contrôle d’accès des utilisateurs afin de renforcer la sécurité, de gérer les autorisations et de permettre aux utilisateurs d’effectuer des tâches avec les privilèges appropriés. Cependant, les paramètres par défaut, les stratégies de groupe modifiées ou les problèmes système peuvent parfois faire en sorte que l’option “Exécuter en tant qu’utilisateur différent” ne s’affiche pas dans votre menu contextuel Windows 10. Dans ce cas, il existe des mesures spécifiques à prendre pour résoudre le problème et rétablir la fonctionnalité.

Qu’il s’agisse de dépanner des options manquantes ou de mettre en œuvre des protocoles de sécurité, le fait de savoir comment gérer ces fonctions du menu contextuel favorise une bonne administration du système et le contrôle de l’accès des utilisateurs.

Comprendre les principes fondamentaux du menu contextuel de Windows 10

Le système de menu contextuel de Windows 10 sert d’interface critique pour l’administration du système et le contrôle d’accès des utilisateurs. La compréhension de ces éléments fondamentaux vous aidera à configurer l’option “Exécuter en tant qu’utilisateur différent” sur Windows 10.

Options contextuelles du menu Démarrer

La fonctionnalité de clic droit du menu Démarrer va au-delà des opérations de base et offre des options avancées aux administrateurs système. Ces éléments du menu contextuel contrôlent la manière dont les utilisateurs interagissent avec les applications et déterminent quand l’option “Exécuter en tant qu’utilisateur différent” apparaît.

Les éléments essentiels du menu Démarrer sont les suivants :

  • Permissions d’exécution des applications
  • Indicateurs d’élévation des privilèges
  • Options de changement de contexte pour l’utilisateur

Gestion des autorisations de clic droit

Windows 10 propose un système sophistiqué d’autorisations  qui régit la disponibilité du menu contextuel. Lorsque l’exécution en tant qu’utilisateur différent ne s’affiche pas, le problème provient souvent de ces configurations d’autorisations :

  1. Niveaux de privilèges des comptes d’utilisateurs
  2. Affectation des politiques de groupe
  3. Exigences relatives aux jetons de sécurité

Configurations par défaut du menu contextuel

Comprendre les configurations par défaut permet d’identifier les cas où quelque chose ne va pas. Windows 10 est livré avec des paramètres de menu contextuel prédéterminés qui équilibrent la sécurité et la fonctionnalité. Ces paramètres établissent des comportements de base pour l’exécution des commandes et les capacités de changement d’utilisateur entre les différentes versions et éditions de Windows.

Impact des paramètres de sécurité du système

Les fonctionnalités de sécurité de Windows 10 influencent directement le comportement du menu contextuel. Les paramètres du contrôle de compte d’utilisateur (UAC), les stratégies AppLocker et Windows Defender peuvent tous influer sur le fait que les utilisateurs voient ou non l’option “Exécuter en tant qu’utilisateur différent”. Les administrateurs de systèmes doivent trouver un équilibre entre ces contrôles de sécurité et les exigences opérationnelles afin de maintenir à la fois la sécurité et la fonctionnalité.

Pourquoi l’option “Exécuter en tant qu’utilisateur différent” ne s’affiche-t-elle pas dans Windows 10 ?

Plusieurs facteurs clés peuvent être à l’origine du fait que l’option “Exécuter en tant qu’utilisateur différent” ne s’affiche pas sur dans votre environnement Windows. La compréhension de ces causes profondes aide les administrateurs de systèmes à mettre en œuvre les correctifs appropriés et à maintenir des protocoles de sécurité adéquats.

Problèmes courants de configuration du registre

Les paramètres du registre empêchent souvent l’option Exécuter en tant qu’utilisateur différent d’apparaître dans Windows 10. Le registre de Windows sert de système nerveux central pour le comportement du menu contextuel, où des clés manquantes ou des autorisations incorrectes peuvent désactiver cette fonctionnalité cruciale. Les administrateurs système rencontrent fréquemment des entrées de registre corrompues dans HKEY_CLASSES_ROOT qui nécessitent une reconstruction minutieuse pour restaurer les opérations de menu appropriées.

Impact de la politique de groupe sur les menus contextuels

Les stratégies de domaine et de groupe local ont une influence significative sur la disponibilité du menu contextuel. Ces stratégies peuvent remplacer les paramètres locaux et supprimer l’option “Exécuter en tant qu’utilisateur différent” sur Windows 10, en particulier dans les environnements d’entreprise. Les conflits politiques les plus fréquents sont les suivants :

  1. Restrictions de sécurité au niveau du domaine
  2. Configurations de la politique locale
  3. Conflits politiques hérités

Interférence des fonctions de sécurité de Windows

Les fonctions de sécurité modernes de Windows gèrent activement la manière dont les utilisateurs peuvent configurer l’exécution en tant qu’utilisateur différent dans Windows. SmartScreen et les mécanismes de contrôle des applications fonctionnent en coulisses, évaluant les niveaux de confiance des applications et vérifiant les signatures numériques avant d’autoriser un accès élevé par le biais des menus contextuels.

Effets des paramètres de contrôle des comptes d’utilisateurs

Les paramètres de contrôle de compte d’utilisateur (UAC) jouent un rôle important dans le comportement du menu contextuel. Lorsque l’exécution en tant qu’utilisateur différent ne s’affiche pas, la cause principale est souvent liée aux niveaux de notification UAC et aux exigences en matière d’élévation. Ces paramètres créent un cadre de sécurité qui détermine

  • Comportement de demande de justificatif
  • Chemins d’élévation de l’application
  • Transitions du contexte de l’utilisateur

Configurer l’option “exécuter en tant qu’utilisateur différent” dans Windows

Les environnements Windows modernes offrent plusieurs méthodes pour configurer l’exécution en tant qu’utilisateur différent lorsqu’elle n’apparaît pas dans vos menus contextuels. Chaque approche offre des avantages uniques en fonction des besoins de votre environnement et des exigences de sécurité.

Modifier l’éditeur de registre

Le registre de Windows contient les clés permettant de restaurer les options manquantes du menu contextuel. Avant d’effectuer toute modification, créez un point de restauration du système pour plus de sécurité. Les chemins d’accès essentiels au registre sont les suivants :

  1. Naviguez jusqu’à HKEY_CLASSES_ROOT*\shell.
  2. Ajouter la structure de clés RunAs.
  3. Configurer les attributs de permission.

Mise en œuvre des modifications de la stratégie de groupe

La stratégie de groupe offre un contrôle centralisé de la configuration de l’exécution en tant qu’utilisateur différent dans Windows au sein de votre organisation. Accédez à l’éditeur de stratégie de groupe et localisez :

  • Configuration des utilisateurs > Modèles administratifs
  • Composants Windows > Explorateur de fichiers
  • Afficher la commande Exécuter en tant qu’utilisateur différent dans Démarrer

Utiliser des outils de menu contextuel tiers

Lorsque les outils natifs s’avèrent insuffisants, des solutions tierces peuvent aider à restaurer et à gérer les fonctionnalités du menu contextuel. Le choix de l’outil adéquat nécessite une évaluation minutieuse des normes de sécurité et des capacités de l’entreprise.

Trois options puissantes se distinguent dans la communauté des administrateurs de systèmes :

  • Easy Context Menu offre un contrôle intuitif des entrées du menu contextuel avec des capacités de déploiement rationalisées et une gestion granulaire des autorisations pour les environnements d’entreprise.
  • Right-Click Enhancer Professional offre des fonctions de personnalisation complètes pour standardiser les configurations de menu au sein des organisations tout en maintenant des contrôles de sécurité solides.
  • FileMenu Tools offre des fonctionnalités prêtes pour l’entreprise avec des options de déploiement avancées et un enregistrement d’audit détaillé pour les exigences de conformité.

Avant de mettre en œuvre une solution tierce, évaluez chaque outil en fonction des exigences de sécurité de votre organisation, en vérifiant les signatures numériques, l’historique de l’assistance du fournisseur et les capacités d’intégration avec les outils de sécurité existants.

Méthodes de configuration de l’invite de commande

Les outils de ligne de commande offrent aux administrateurs des options puissantes pour configurer le comportement du menu contextuel. Voici comment mettre en œuvre ces changements à l’aide de PowerShell et de l’Invite de commande :

À l’aide de PowerShell, les administrateurs peuvent modifier directement les paramètres du registre en définissant la valeur ShowRunAsDifferentUserInStart sur “1”. Ce processus nécessite des privilèges élevés et comprend la vérification des modifications par un traitement approprié des erreurs.

Pour les utilisateurs de l’invite de commande :

  1. Modifiez le registre à l’aide des commandes reg add pour activer l’option “Exécuter en tant qu’utilisateur différent”.
  2. Réinitialiser le cache du menu contextuel en redémarrant l’explorateur.
  3. Vérifier les modifications en interrogeant le système.

Ces méthodes de ligne de commande permettent également l’automatisation au moyen de scripts, ce qui permet aux administrateurs système de déployer efficacement les modifications sur plusieurs machines.

Bonnes pratiques pour la gestion du menu contextuel

Le maintien du contrôle sur les configurations du menu contextuel nécessite une planification minutieuse et une mise en œuvre systématique. Lorsque vous configurez l’exécution en tant qu’utilisateur différent dans Windows, le respect des bonnes pratiques établies assure à la fois une fonctionnalité optimale et une sécurité solide.

Points de restauration du système : votre filet de sécurité

Avant de modifier les paramètres du menu contextuel, créez un point de restauration complet du système. Cette étape critique fournit une option de retour en arrière fiable si l’exécution sous un autre utilisateur ne s’affiche pas après vos modifications. Documenter l’heure de création du point de restauration et inclure des détails spécifiques sur les modifications prévues.

Documentation et gestion du changement

Les environnements informatiques professionnels exigent une documentation complète des personnalisations des menus. Créer des dossiers détaillés comprenant

  1. Clés et valeurs de registre modifiées
  2. Ajustements de la politique du groupe
  3. Méthodes de mise en œuvre en ligne de commande
  4. Évaluations de l’impact sur la sécurité

Test en mode sans échec

Le mode sans échec fournit un environnement isolé permettant de vérifier les modifications apportées au menu contextuel avant de les déployer à grande échelle. Testez systématiquement vos configurations :

  • Vérifier l’apparence et le comportement du menu.
  • Confirmer les niveaux d’autorisation des utilisateurs.
  • Valider la gestion des jetons de sécurité.
  • Vérifier la compatibilité de l’application.

Conformité et surveillance de la sécurité

Le maintien de la conformité en matière de sécurité exige une vigilance permanente. Lorsque vous configurez l’exécution en tant qu’utilisateur différent dans Windows, établissez des protocoles de surveillance qui suivent les schémas d’utilisation et les événements de sécurité. Des contrôles de conformité réguliers permettent à vos configurations de menu contextuel de s’aligner sur les politiques de sécurité de l’organisation tout en maintenant l’efficacité opérationnelle.

La gestion des menus contextuels et des autorisations des utilisateurs dans votre environnement Windows exige des outils de gestion des terminaux performants qui s’adaptent aux besoins de votre entreprise. La plateforme NinjaOne de gestion des terminaux pour grandes entreprises optimise la configuration des normes de sécurité sur chaque terminal. Découvrez l’impact d’une gestion intelligente des terminaux pour votre entreprise — Essayez-le maintenant gratuitement.

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Comment autoriser ou empêcher un périphérique de réveiller votre ordinateur sur Windows 10 https://www.ninjaone.com/fr/blog/empecher-un-peripherique-de-reveiller-votre-ordinateur/ Tue, 18 Feb 2025 11:46:55 +0000 https://www.ninjaone.com/?p=425385 Dans cet article, vous apprendrez comment empêcher un périphérique de réveiller votre ordinateur sur Windows 10. Le mystérieux démarrage de l’ordinateur à 3 heures du matin n’est peut-être pas un fantôme dans la machine. De la maintenance programmée aux cartes réseau défaillantes, les périphériques Windows 10 peuvent réveiller votre ordinateur pour diverses raisons. En ajustant ces paramètres de réveil, votre système passe du statut d’imprévisible à celui d’actif fiable de l’entreprise.

Pourquoi les périphériques réveillent votre ordinateur dans Windows 10

Les événements de réveil non planifiés perturbent les programmes de maintenance et consomment des ressources inutiles sur l’ensemble de votre réseau. Comprendre pourquoi des périphériques variables peuvent réveiller votre ordinateur dans Windows 10 peut vous aider à apporter les modifications nécessaires pour éviter ces problèmes.

À propos des déclencheurs de réveil

Windows 10 utilise les commandes d’information de gestion de l’alimentation (PMIC) pour permettre à un périphérique de réveiller votre ordinateur. Ces commandes assurent la coordination entre les composants matériels, les services logiciels et les stratégies d’alimentation de Windows pour déterminer quand un système doit sortir de la veille ou de l’hibernation.

Les pilotes de périphériques surveillent des modèles de réveil spécifiques et réagissent en fonction des états d’alimentation et des niveaux de priorité configurés, tandis que Modern Standby permet une fonctionnalité de réveil instantané pour les notifications critiques, même dans les états de faible consommation d’énergie.

Sources de réveil communes

Le planificateur de tâches de Windows s’occupe de tout, des mises à jour de Windows aux opérations de sauvegarde. Les adaptateurs réseau étendent cette capacité grâce aux paquets magiques Wake-on-LAN, qui permettent la gestion et l’assistance à distance. Votre équipe informatique doit surveiller ces déclencheurs de réveil courants :

  • Tâches de maintenance programmées qui permettent de nettoyer et d’optimiser le système.
  • Mises à jour du système nécessitant une installation immédiate ou un redémarrage.
  • Demandes de réveil basées sur le réseau provenant d’outils de gestion et de systèmes de surveillance.
  • Notifications d’attente connectées qui assurent la continuité de l’activité.
  • Outils de soutien du service d’assistance nécessitant des capacités d’accès à distance.

Comportements de réveil par défaut

Windows 10 comprend des règles prédéfinies de gestion de l’énergie qui déterminent le moment où votre ordinateur sort de son état de veille. Ces comportements par défaut se concentrent sur deux domaines principaux : la maintenance programmée du système et les demandes de réveil basées sur les applications. Windows planifie automatiquement des fenêtres de maintenance pour effectuer des tâches essentielles, tandis que certaines applications reçoivent l’autorisation de réveiller votre système lorsqu’elles doivent effectuer des opérations importantes.

Analyse de la structure des sillages

Windows 10 fournit des outils robustes pour surveiller et analyser les événements de réveil via les journaux de l’Observateur d’événements et les utilitaires de ligne de commande PowerCFG. Ces outils vous offrent des options de configuration détaillées et des données historiques pour vous aider à garder le contrôle de votre environnement. L’analyse régulière de ces journaux peut révéler :

  • Événements de réveil non autorisés susceptibles d’indiquer des problèmes de sécurité ou des erreurs de configuration.
  • Anomalies de motifs qui suggèrent des problèmes potentiels de pilote ou de matériel.
  • Modèles de consommation des ressources pendant les cycles de veille.
  • Impact des événements de réveil sur les performances et la disponibilité des systèmes.
  • Conflits de configuration entre différentes sources de réveil.

Comment empêcher votre ordinateur de se réveiller dans Windows 10 ?

Windows 10 propose des contrôles granulaires pour empêcher les réveils indésirables tout en préservant les fonctionnalités essentielles. Voici comment gérer ces contrôles :

Identifier les événements de réveil non autorisés

La commande powercfg /lastwake révèle la source du dernier événement de réveil de votre système. L’association de cette commande avec la commande powercfg /waketimers permet d’afficher toutes les minuteries de réveil actives dans votre environnement. Combinés aux journaux système de l’Observateur d’événements, ces outils permettent d’obtenir une vue d’ensemble des modèles de comportement des sillages.

Vous pouvez étudier les sources de réveil à l’aide de plusieurs commandes clés :

  • Exécutez powercfg /systempowerreport pour analyser les comportements détaillés en matière d’alimentation et de réveil au fil du temps
  • Examiner les entrées powershell get-eventlog pour les événements de réveil de Power-Troubleshooter
  • Surveiller les requêtes de powercfg afin d’identifier les demandes d’alimentation actives des applications
  • Suivi des rapports powercfg /sleepstudy pour l’analyse de modèles de réveil inattendus

Désactiver les minuteries de réveil

Les paramètres de stratégie de groupe vous permettent de contrôler, à l’échelle de l’entreprise, le comportement de la minuterie de réveil. Vous pouvez accéder à ces paramètres par l’intermédiaire de l’éditeur de stratégie de groupe sous “Configuration de l’ordinateur > Modèles d’administration > Système > Gestion de l’énergie > Paramètres de veille” Vous pouvez gérer les paramètres individuels du système via les options d’alimentation du panneau de configuration.

Gérer les autorisations de réveil

Le Gestionnaire de périphériques sert de plaque tournante pour contrôler les périphériques qui peuvent réveiller votre système. Cliquez avec le bouton droit de la souris ou du clavier sur chaque adaptateur réseau pour accéder aux paramètres de gestion de l’alimentation. Ces configurations persistent à travers les mises à jour du système et fournissent un comportement de sillage cohérent dans votre environnement.

Vérifier les paramètres de réveil

Après avoir mis en place des restrictions de réveil, vérifiez vos paramètres avec la commande powercfg /devicequery wake_from_any. Cette étape de validation permet de s’assurer que les configurations correspondent aux exigences de sécurité et aux besoins de l’entreprise. Des audits réguliers de ces paramètres permettent de maintenir la stabilité du système et d’éviter les dérives de configuration.

Marche à suivre pour autoriser un appareil à réveiller votre ordinateur dans Windows 10

Les capacités de réveil comblent le fossé entre la disponibilité permanente et la gestion efficace de l’énergie. Procédez comme suit pour autoriser un périphérique spécifique à réveiller vos ordinateurs.

1ère étape : Configurer les paramètres de réveil de l’appareil

Ouvrez le Gestionnaire de périphériques pour déterminer quels périphériques peuvent réveiller votre ordinateur. Cliquez avec le bouton droit de la souris sur le bouton Démarrer de Windows et sélectionnez “Gestionnaire de périphériques” dans le menu. Une liste de tous les appareils connectés à votre système s’affiche.

Pour configurer un appareil spécifique :

  • Naviguez jusqu’à la catégorie des appareils et double-cliquez sur l’appareil que vous souhaitez configurer.
  • Sélectionnez l’onglet “Gestion de l’alimentation” dans la fenêtre des propriétés de l’appareil.
  • Cochez ou décochez la case “Autoriser ce périphérique à réveiller l’ordinateur” en fonction de vos besoins.
  • Cliquez sur “OK” pour enregistrer vos modifications et répétez l’opération pour les autres appareils.

Pour les adaptateurs réseau, vous disposez d’options de réveil supplémentaires :

  • Ouvrez les propriétés de la carte réseau dans le Gestionnaire de périphériques.
  • Naviguez jusqu’à l’onglet “Gestion de l’énergie”.
  • Sélectionnez “N’autoriser qu’un paquet magique pour réveiller l’ordinateur” pour sécuriser la capacité de réveil à distance.
  • Configurez l’option “Wake on Magic Packet” dans l’onglet Avancé si elle est disponible pour votre adaptateur.
  • Cliquez sur “OK” pour enregistrer ces paramètres spécifiques au réseau.

2ème étape: Définir les autorisations de réveil

Accédez à la touche Power pour définir des paramètres de réveil personnalisés qui répondent à vos besoins opérationnels spécifiques :

  • Modifier les priorités de la source de réveil à l’aide de valeurs de registre.
  • Configurer les paramètres du tampon de réveil pour améliorer la fiabilité.
  • Ajuster les paramètres de synchronisation pour une réponse optimale.
  • Définir des modèles de réveil personnalisés.
  • Activer la journalisation améliorée des événements de réveil.

3ème étape : Tester la fonctionnalité de réveil

Valider les configurations de sillage par rapport à des scénarios réels :

  • Mesurer la fiabilité des sillages lors des pics de charge du réseau.
  • Tester le comportement du réveil sur différents itinéraires du réseau.
  • Vérifier la fonctionnalité du sillage avec un trafic réseau crypté.
  • Documenter les taux de réussite des sillages par l’intermédiaire des VPN.
  • Contrôler les schémas de consommation d’énergie pendant les cycles de réveil.

4ème étape : Dépannage des problèmes de réveil

Mettre en œuvre une surveillance continue des sillages afin de maintenir une performance optimale du système. Suivez les mesures clés telles que la latence de réveil, les taux de réussite et la consommation d’énergie afin d’identifier les problèmes potentiels avant qu’ils n’affectent la productivité.

Stratégies de gestion du réveil des entreprises

Vous pouvez être confronté à des défis uniques lorsque vous gérez des événements de réveil à travers diverses configurations matérielles et exigences des utilisateurs au sein d’une entreprise. Voici quelques conseils pour garder une certaine cohérence.

Déployer des politiques de veille

Pour obtenir un contrôle centralisé sur les configurations de réveil de votre organisation, définissez des politiques de réveil standard auxquelles chaque employé doit adhérer. Pour ce faire, vous pouvez utiliser la stratégie de groupe :

  • Créer des modèles standardisés qui permettent à un périphérique de réveiller l’ordinateur dans Windows 10.
  • Mettre en place des contrôles d’accès différenciés pour les autorisations d’accès.
  • Configurer la protection de l’accès au réseau pour les paquets de réveil.
  • Déployer des filtres de sillage via le pare-feu Windows Defender.
  • Établir des exigences en matière d’audit des sillages par département.

Surveillance des événements de réveil non autorisés

Pour savoir quels périphériques ou services réveillent votre ordinateur de manière inattendue, vous devez consulter l’observateur d’événements de Windows et les rapports sur l’alimentation du système. Ces outils intégrés vous donnent une vision immédiate sans nécessiter d’investissements logiciels supplémentaires.

Procédez comme suit pour surveiller les modèles de réveil :

  1. Ouvrez l’observateur d’événements et naviguez jusqu’à Windows Logs > System.
  2. Filtrez le journal pour afficher les événements Power-Troubleshooter, qui montrent toute l’activité de réveil.
  3. Exécutez powercfg /systempowerreport à partir d’une invite de commande élevée pour générer un rapport HTML détaillé des événements de réveil.
  4. Examinez la section “Historique des sillages” de ce rapport pour identifier les sources de sillages non autorisées.
  5. Documenter les modèles d’événements de réveil inattendus en vue d’une enquête plus approfondie.

Pour les organisations qui gèrent plusieurs systèmes, Windows Event Forwarding permet de centraliser la surveillance des événements de réveil. Activez cette fonctionnalité via la stratégie de groupe pour collecter les données de réveil de tous vos appareils Windows 10 en un seul endroit.

Mettre en place des restrictions de sillage

Utilisez le planificateur de tâches Windows et PowerShell pour automatiser vos restrictions de réveil :

  • Programmer des fenêtres de maintenance qui s’alignent sur les activités de l’entreprise.
  • Créer des politiques de réveil spécifiques à chaque département.
  • Définir des restrictions de sillage géographique pour les opérations mondiales.
  • Définir des autorisations d’accès basées sur des rôles.
  • Établir des périodes d’interdiction de réveil pour les systèmes critiques.

Gérer les régimes d’électricité

Grâce à Active Directory, vous pouvez déployer des schémas d’alimentation personnalisés qui équilibrent la disponibilité du système et l’efficacité énergétique. Ces schémas s’intègrent à vos politiques de veille pour créer une stratégie complète de gestion de l’énergie.

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